500 Artistes contre l’apartheid israélien

25 février 2010 | Posté dans Boycott, Canada, Palestine, Quebec, Solidarité
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    Artistes contre l’apartheid israélien: Montréal, le 25 février 2010

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    photo: à ciel ouvert par-delà du mur d’apartheid israélien en Palestine.

Des artistes montréalais lancent un appel pour appuyer la campagne internationale de Boycottage, Désinvestissement et Sanctions contre l’apartheid israélien.

Aujourd’hui, un vaste éventail d’artistes se mobilise pour appuyer la campagne internationale de plus en plus large, appelant au boycottage, au désinvestissement et à des sanctions contre l’État d’Israël : la campagne BDS. L’hiver dernier, Israël lança un assaut militaire violent contre le peuple palestinien de la bande de Gaza avec un bilan de 1400 morts dont 300 enfants. Malgré la fin officielle des opérations militaires, le blocus de Gaza persiste à ce jour.

Il y a plus de 60 ans commença la Nakba (catastrophe en arabe) des Palestiniens, forçant des centaines de milliers d’entre eux à s’exiler de la Palestine historique lors de la création d’Israël en 1948. Aujourd’hui, des artistes montréalais affirment leur solidarité avec le combat pour la justice et la liberté du peuple palestinien.

Ces artistes se joignent à la campagne BDS pour protester concrètement contre le déni constant par Israël des droits inaliénables des réfugiés palestiniens de regagner leurs maisons et leurs terres, comme le stipule le droit international, et contre l’occupation et la colonisation qu’impose Israël à la Cisjordanie (Jérusalem compris) et à Gaza, violant aussi le droit international et passant outre de multiples résolutions des Nations Unies.

Les Palestiniens subissent un système institutionnalisé de racisme et de ségrégation qui ressemble à l’apartheid sud-africain d’autrefois. Un réseau routier réservé aux Israéliens, des clôtures électrifiées, et plus de 500 checkpoints et barrages privent les Palestiniens de toute liberté de mouvement. Le mur d’apartheid israélien, que la Cour Internationale de Justice a condamné en 2004, serpente à travers les terres palestiniennes, annexant toujours plus de territoires et isolant des collectivités palestiniennes avec ses barbelés électrifiés atteignant huit mètres de haut.

Gaza est assiégée. Israël continue d’imposer une punition collective aux 1,5 million de Palestiniens de Gaza, soumis à une pénurie chronique d’électricité, de carburant, de nourriture et d’autres produits de base, tout en poursuivant sa campagne de violences militaires. Des représentants de l’ONU ont rapporté que « la situation s’est détériorée, il s’agit maintenant d’une véritable situation d’urgence, où les Palestiniens sont privés de produits et de soins vitaux ». Israël a transformé Gaza en une gigantesque prison.

Le mouvement mondial contre l’apartheid israélien, appuyé par une large majorité de la société civile palestinienne, ne vise pas le peuple d’Israël mais bien les institutions israéliennes qui sont garantes et complices de ce système complexe d’oppression du peuple palestinien.

En fait, la campagne BDS, lancée en 2005 par plus de 170 organismes palestiniens, s’adresse explicitement aux Israéliens de conscience en les pressant de se joindre à l’initiative internationale afin d’obliger l’État d’Israël à respecter le droit international et les droits fondamentaux de la personne, prémisse essentielle à une paix fondée sur la justice dans cette région du monde. Cet appel s’inscrit dans le cadre d’un engagement actif avec un grand nombre d’artistes israéliens progressistes qui luttent quotidiennement pour la paix et la justice et appuient la campagne internationale contre l’apartheid israélien.

Durant la première et deuxième Intifadas, Israël a envahi, saccagé, et même fermé des cinémas, des théâtres et des centres culturels dans les territoires occupés, tentant délibérément d’étouffer les voix palestiniennes ; mais rien n’y fera. Partout dans le monde, l’appel à la campagne BDS contre le gouvernement israélien se fait de plus en plus entendre. Cet appel est profondément ancré dans le mouvement historique de solidarité internationale comme ce fut le cas pour la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud.

En accord avec la déclaration de Nelson Mandela selon laquelle « Notre liberté [en Afrique du Sud] est incomplète sans celle des Palestiniens », nous croyons que la solidarité internationale peut jouer un rôle crucial dans la libération des Palestiniens du colonialisme et de l’apartheid qu’ils subissent. Cette lutte continuera jusqu’à ce que les Palestiniens se voient accorder leurs droits fondamentaux, y compris le droit au retour pour tous les réfugiés vivant en diaspora.

Aujourd’hui, des artistes montréalais d’horizons divers, cinéastes, musiciens, danseurs, poètes, auteurs et peintres, se joignent au mouvement international contre l’apartheid. Dans les rues, dans les salles de concert, en mots et en chansons, les artistes s’engagent à lutter contre l’apartheid et à inciter d’autres artistes et producteurs culturels à travers le pays et autour du monde à se joindre à ce mouvement international.

pour ajouter votre signature à cette lettre ou pour toute question ou suggestion, écrivez à info(at)tadamon.ca

1: Aidan Girt, 1-Speed Bike
2: Alexander Moskos, musicien, AIDS Wolf
3: Chole Lum, musicienne, AIDS Wolf
4: Yannick Desranleau, musicien, AIDS Wolf
5: Esmeralda Súmar Jara, musicienne, Amérythmes
6: Karen Lliana Lemus, musicienne, Amérythmes
7: Ronald Lemus, musicien, Amérythmes
8: José Sermeno Rosales, musicien, Amérythmes
9: Daviyd Yisrael, musicien, Amérythmes
10: Pierre Allard, Action Terroriste Socialement Acceptable, ATSA
11: Annie Roy, Action Terroriste Socialement Acceptable, ATSA
12: Hamid Nach, musicien, Bambara Trans
13: Kattam Laraki-Côté, percussionniste, Bambara Trans
14: Iqi Balam, chanteur, Banda de Gaza
15: Owain Lawson, musicien, Black Feelings
16: Brian Mitchell, musicien, Black Feelings
17: Kyle Fostner, musicien, Black Feelings
18: James Di Salvio, Bran Van 3000
19: Bronwen Agnew, Chaotic Insurrection Ensemble
20: Maire White, Chaotic Insurrection Ensemble
21: Skyla Mody, Chaotic Insurrection Ensemble
22: Annabelle Rivard, Chaotic Insurrection Ensemble
23: Veronica Post, Chaotic Insurrection Ensemble
24: Sonja Engmann, Chaotic Insurrection Ensemble
25: Cathy Inouye, Chaotic Insurrection Ensemble
26: Anne Gorry, Chaotic Insurrection Ensemble
27: Andrea Miller-Nesbitt, Chaotic Insurrection Ensemble
28: Joseph Boulos, Chaotic Insurrection Ensemble
29: Matt Corks, Chaotic Insurrection Ensemble
30: Florence Richer, Chaotic Insurrection Ensemble
31: Maggie Schreiner, Chaotic Insurrection Ensemble
32: Jon Boles, musicien, Clues
33: Ben Borden, musicien Clues
34: Brendan Reed, musicien, Clues
35: Don Wilkie, co-fondateur, Constellation Records
36: Ian Ilavsky, co-fondateur, Constellation Records
37: Andy Williams, DJ Andy Williams
38: Tyler Megarry, DJ Backdoor
39: Robyn Maynard, DJ Dirtyboots
40: Kevin Moon, DJ Moonstarr
41: Vladimir López, DJ Palosanto
42: Scott Clyke, DJ Scott C
43: Mike Lai, DJ Static
44: Mado Lamotte, Drag Queen Diva
45: Nader Hasan, musicien, Echoes Still Singing Limbs
46: Aidan Jeffery, musicien, Echoes Still Singing Limbs
47: Amine Benbachir, Elby & Woods
48: Jordan McKenzie, musicien, Elfin Saddle
49: Emi Honda, musicienne, Elfin Saddle
50: Deeqa Ibrahim, chanteuse, Empress Deeqa
51: Normand Raymond, musicien, Ensemble Acalanto
52: Carmen Pavez, musicienne, Ensemble Acalanto
53: Rafael Azocar, musicien/compositeur, Ensemble Acalanto
54: Rebecca Foon, musicienne, Esmerine
55: Jean-Sébastien Truchy, musicien, Fly Pan Am
56: Lisa Gamble, Gambletron
57: Emilie Mouchous, compositeure de musique électronique, Gamackrr
58: Sub Roy, musicien, Grand Trine
59: Zayid Al-Baghdadi, musicien, Hazaj Ensemble
60: Fadi Halawi, musicien, Hazaj Ensemble
61: Michael Farsky, musicien, Homosexual Cops
62: Joel Janis, chanteur, Jahnice +
63: Radwan Ghazi Moumneh, artiste, Jerusalem in My Heart
64: Lubo Alexandrov, musicien, Kaba Horo
65: Erik Hove, saxophoniste, Kaba Horo
66: Zibz Black Current, poète, Kalmunity Vibe Collective
67: Matin Heslop, contrebasse, Kalmunity Vibe Collective
68: Ron G. chanteur, Kalmunity Vibe Collective
69: Katalyst, poète, Kalmunity Vibe Collective
70: Adam Kinner, saxophoniste, Kalmunity Vibe Collective
71: Mohamed Mehdi, guitariste/chanteur, Kalmunity Vibe Collective
72: Jordan Peters, guitariste, Kalmunity Vibe Collective
73: Fabrice Koffy, poète, Kalmunity Vibe Collective
74: Gordon Allen, musicien, L’Envers
75: Simon Leduc, musicien, Le Descente du Coude
76: Fanny Bloom, La Patère Rose
77: Kilojoules, La Patère Rose
78: Roboto, La Patère Rose
79: Simon D., Léopard et Moi
80: Lynne T., Lesbians on Ecstasy
81: Bernie Bankrupt, Lesbians on Ecstasy
82: Mathieu Farhoud-Dionne, Chafiik, Loco Locass
83: Geneviève Beaulieu, musicienne
84: Steve Lamothe, musicien
85: Fred Savard, compositeur de musique électronique, Metis Yeti
86: Matthew Jacob Lederman, musicien, Moondata LABprojects
87: Nantali Indongo, Nomadic Massive
88: Modibo Keita, Nomadic Massive
89: Diegal Leger, Nomadic Massive
90: Nicolás Palacios-Hardy, Nomadic Massive
91: Lou Piensa, Nomadic Massive
92: Ralph Joseph, Nomadic Massive
93: Meryem Saci, Nomadic Massive
94: Vox Sambou, Nomadic Massive
95: Jason Selman, Nomadic Massive / Kalmunity Vibe Collective
96: Sébastien Fournier, musicien, Panopticon Eyelids
97: Félix Morel, musicien, Panopticon Eyelids
98: Nicolas Basque, guitariste/chanteur, Plants and Animals
99: Matthew Woodley, percussionniste, Plants and Animals
100: David Bryant, musicien, Set Fire to Flames
101: Thierry Amar, musicien, Silver Mt. Zion
102: Sophie Trudeau, musicienne, Silver Mt. Zion
103: Mohamed Masmoudi, musicien, Sokoun Trio
104: Greg Napier, musicien, Special Noise
105: Jeff Simmons, musicien, Special Noise
106: Edward Lee, artiste, St. Emilie SkillShare
107: Reyrey Castonguay, artiste, St. Emilie SkillShare
108: Machaulay Culkin, artiste, St. Emilie SkillShare
109: Amanda Oliver, artiste, St. Emilie SkillShare
110: Rochelle Ross, artiste, St. Emilie SkillShare
111: Tasha Zamudio, artiste, St. Emilie SkillShare
112: Kerri Flannigan, artiste, St. Emilie SkillShare
113: Jessie Stein, chanteuse/guitariste, The Luyas
114: Yassin Alsalman, the Narcicyst
115: Gern F., chanteur/guitariste, The United Steel Workers of Montreal
116: Martin Cesar, musicien, Think About Life
117: Greg Napier, musicien, Think About Life
118: Caila Thompson-Hannant, musicienne, Think About Life
119: Graham Van Pelt, musicien, Think About Life
120: Andrea deBruijn, poète, Throw Poetry Collective
121: Alessandra Naccarato, poète, Throw Poetry Collective
122: Merrill Garbus, musicienne, Tune-Yards
123: Sundus Abdul Hadi, artiste en art visual
124: Jean-Marc Abela, réalisateur
125: Faiz Abhuani, collective Artivistic
126: Paul Ahmarani, acteur
127: Mitchell Akiyama, musicien electronique, intr. version recordings
128: Patrick Alonso, photographe
129: Hala Alsalman, réalisatrice
130: Tito Alvarado, poète, Proyecto Cultural Sur
131: David Amorocho, pianiste
132: Sabrien Amrov, photographe
133: Fortner Anderson, poète
134: Tasha Anestopoulos, DJ
135: Daniel Anez, pianiste
136: Laura Jordán, musicienne
137: Amelie Ares, artiste
138: Shahrzad Arshadi, artiste/photographe
139: Nedaa Asbah, musicien
140: Natali Asbah, violoniste
141: Maroupi Asbah, violoniste
142: Jon Asencio, musicien
143: Martine Audet, poète
144: Mila Aung-Thwin, Eye Steel Film
145: François Avard, auteur
146: Shira Avni, réalisatrice
147: Magali Babin, compositeure de musique électronique
148: Gina Badger, artiste
149: Rebecca Bain, musicienne
150: Anaïs Barbeau-Lavalette, réalisatrice
151: Kate Bass, artiste en art visual
152: Philippe Battikha, trompetiste/musicien
153: Mireya Bayancela, comedienne
154: Jonathan Belisle, Transmedia StoryTeller
155: Nabila Ben Youssef, comedienne-humoriste
156: Kamal Benkirane, auteur/éditeur
157: Serge Bérard, auteur
158: Patricia Bergeron, productrice de film
159: David Bernans, auteur
160: Isabelle Bernier, artiste
161: Josué Bertolino, cinéaste
162: Santiago Bertolino, cinéaste
163: Mark Berube, chanteur, The Patriotic Few
164: Kawtare Bihya, artiste
165: Eli Bissonnette, fondateur Dare to Care Records
166: Pierre-Guy Blanchard, percussioniste
167: Julien Boisvert, cinéaste
168: Michel Bonneau, musicien
169: Rana Bose, écrivain
170: Marie Boti, réalisatrice, Productions Multi-Monde
171: Magda Boukanan, pianiste
172: Bachir Boumediene, Eye Steel Film
173: Arnaud Bouquet, documentariste
174: Marie Brassard, actrice/metteure en scène
175: Derek Broad, dessinateur
176: Richard Brouillette, cinéaste
177: Marion Brunelle, chanteuse de Jazz
178: Alexia Bürger, comedienne
179: Chris Burns, musicien
180: Louise Burns, artiste
181: Peter Burton, musicien, directeur du Festival Suoni per il Popolo
182: Antoine Bustros, pianiste/compositeur
183: César Càceres, artiste en art visuel
184: Philippe Cadieux, artiste en art visuel
185: Michel Campeau, artiste
186: Olivier Campo, Bar Populaire
187: Daniel Canty, écrivain/réalisateur
188: Paul Cargnello, chanteur
189: Boban Chaldovich, réalisateur
190: Vincent Champagne, réalisateur
191: Mazen Chamseddine, graphiste/architecte
192: Yung Chang, réalisateur, Up the Yangtze
193: Sarah Charland-Faucher, cinéaste
194: Elsa Charpentier, artiste
195: Julie Châteauvert, Centre d’art multidisciplinaire Dare-Dare
196: Ghada Chehade, poète
197: Geneviève Chicoine, artiste
198: Shayla Chilliak, musicienne
199: Jordan Christoff, musicien
200: Stefan Christoff, pianiste/photographe
201: Jacob Cino, producteur de musique/DJ
202: Moe Clark, poète
203: Andrea-Jane Cornell, compositeure de musique électronique
204: Michel F Côté, musicien
205: Marie-Hélène Cousineau, réalisatrice
206: Mateo Creux, pianiste
207: Jean Michel Cropsal, artiste
208: Daniel Cross, réalisateaur, fondateur de Eye Steel Film
209: Vincenzo D’Alto, photographe
210: Amy Darwish, artiste/danseuse
211: Noémie da Silva, photographe
212: Marie Davidson, chanteuse, Les momies de Palerme
213: Mary Ellen Davis, réalisatrice
214: Luke Dawson, artiste
215: Susanne de Lotbinière-Harwood, traductrice littéraire
216: Étienne de Massy, artiste
217: Sylvie de Morais, comedienne
218: Lhasa de Sela, chanteuse
219: Julie Delorme, DJ/CKUT animatrice
220: Sophie Deraspe, réalisatrice, Les Signes Vitaux
221: Jean Derome, musicien de Jazz
222: Nathalie Derome, artiste interdisciplinaire
223: Marcelle Deschênes, compositeure/artiste multimedia
224: Robert Deschênes, artiste
225: Richard Desjardins, artiste
226: Denys Desjardins, cinéaste
227: Keiko Devaux, pianiste, the Acorn/People for Audio
228: Omar Dewachi, musicien
229: Benoît Dhennin, photographe
230: Nathalie Dion, artiste, Zazalie Z
231: Xarah Dion, musicienne, collective Ample
232: Dominique Lebeau, Domlebo, musicien
233: Kim Doré, poète/éditrice
234: Julie Doucet, auteure de bande dessinées
235: Robyn Dru Germanese, artiste
236: Frédéric Dubois, écrivain
237: Bruno Dubuc, cinéaste
238: Martin Duckworth, cinéaste
239: Philippe Ducros, artiste de théâtre, Hotel Motel
240: Katie Earle, artiste
241: Marlene Edoyan, cinéaste, Multi-Monde Productions
242: Will Eizlini, musicien
243: Hassan El Hadi, musicien/chanteur
244: Majdi El Omari, réalisateaur
245: Darren Ell, photographe
246: Nirah Elyza Shirazipour, réalisatrice, Eyes Infinite Films
247: Yves Engler, auteur
248: Bérenger Enselme, Bar Populaire
249: Claudia Espinosa, photographe
250: Tony Ezzy, musicien
251: Julie Faubert, artiste en arts visuel
252: David Fennario, dramaturge/écrivain
253: Javier Fernàndez-Rial, pianiste
254: Carlos Ferrand, cinéaste
255: Ian Ferrier, poète
256: Riley Fleck, percussionniste
257: Arwen Fleming, musicienne
258: Lindsay Foran, artiste en arts visuel
259: Andrew Forster, artiste
260: Tammy Forsythe, chorégraphe
261: James Franze, musicien
262: Kandis Friesen, artiste en arts visual
263: Fanny-Pierre Galarneau, artiste de graffitis, Aïshaaglyphics
264: Carmen Garcia, productrice
265: Francisco Garcia, artiste
266: Brett Gaylor, réalisateur, RIP! A Remix Manifesto
267: Chloé Germain-Thérien, cinéaste/illustratrice
268: Christine Ghawi, musicienne/actrice/lauréate du Prix Gémeaux
269: Olivier Gianolla, peintre
270: Peter Gibson, artiste en art visuel, Roadsworth
271: Serge Giguère, cinéaste
272: Yan Giguère, artiste
273: Dan Gillean, artiste en art visuel, Fiver
274: Jason Gillingham, artiste
275: Miriam Ginestier, DJ/directrice artistique du Studio 303
276: Michel Giroux, monteur de films
277: Ernest Godin, producteur/réalisateur, Kondololé films
278: Anne Golden, cinéaste
279: Malcolm Goldstein, violoniste/compositeur
280: Amber Goodwyn, chanteuse, Nightwood
281: Ashley Gould, DJ
282: Janna Graham, artiste sonore
283: Étienne Grenier, artiste en arts électronique
284: Neil Griffith, musicien
285: Steve Guimond, directeur artistique du festival Suoni per il Popolo
286: Alexandra Guité, réalisatrice
287: Freda Guttman, artiste
288: Malcolm Guy, réalisateur, Productions Multi-Monde
289: Tamara Al Waely, photographe
290: Rawi Hage, auteur
291: Linda Dawn Hammond, photographe
292: Katy Hanna, artiste
293: Shannon Harris, cinéaste
294: Tim Hecker, musicien electronique/artiste sonore
295: Dorothy Henault, réalisatrice
296: Anne Henderson, réalisatrice
297: Hanako Hoshimi-Caines, danseuse contemporaine
298: Magnus Isacsson, réalisateur
299: Yuki Isami, musicienne
300: Naledi Jackson, artiste en art visuel
301: Yohan Jager, pianiste
302: Stéphane Jaques, directeur de théâtre
303: Jocelyn Jean, artiste
304: Rodrigue Jean, artiste
305: Sandra Jeppesen, poète/professeure
306: David Jhave Johnston, poète
307: Sophie Jodoin, artiste en art visuel
308: Norsola Johnson, musicienne
309: Nicole Jolicoeur, artiste
310: Sawssan Kaddoura, artiste en art visuel
311: Stephan Kazemi, dessinateur
312: Kaie Kellough, poète
313: Arshad Khan, réalisateur
314: Nika Khanjani, réalisatrice
315: Maya Khankhoje, écrivaine
316: Valerie Khayat, poète/chanteuse
317: Catherine Kidd, poète
318: Sergeo Kirby, producteur de cinema, Loaded Pictures
319: Courtney Kirkby, artiste sonore
320: Aysegul Koc, réalisatrice
321: Nick Kuepfer, musicien
322: Devlin Kuyek, auteur
323: Sylvain L’Espérance, cinéaste
324: Danièle Lacourse, cinéaste
325: Stéphane Lahoud, cinéaste
326: Jean-Sébastien Lalumière, cinéaste
327: Ève Lamont, cinéaste
328: Noam Lapid, artiste en art visuel
329: Chantale Laplante, compositeure
330: Rodolphe-Yves Lapointe, artiste
331: Monique Laramée, artiste multidisciplinaire
332: Graham Latham, musicien
333: Hugo Latulippe, cinéaste
334: Brian Allen Lipson, musicien
335: Klervi Thienpont Lavallée, actrice
336: Franck Le Flaguais, artiste
337: Sophie Le-Phat Ho, collectif Artivistic
338: François Leandre, artiste en art visuel
339: Michel Lefebvre, artiste/auteur multimedia
340: Vincent Lemieux, artiste/DJ
341: Jean-François Lessard, auteur/compositeur/interprète
342: Anna Leventhal, écrivain
343: JJ Levine, photographe
344: Mika Lillit Lior, chorégraphe/danseuse
345: Sarah Linhares, chanteuse
346: Paul Litherland, artiste
347: Amy Lockhart, réalisatrice/artiste
348: Guillermo Lopez, monteur
349: Jacinthe Loranger, artiste en art visuel
350: Ehab Lotayef, poète
351: Lousnak, chanteuse/artiste multidisciplinaire
352: Caytee Lush, poète
353: Kit Malo, artiste
354: Khalid M’Seffar, animateur/DJ
355: Jessica MacCormack, artiste multidisciplinaire
356: Emmanuel Madan, artiste sonore
357: Rob Maguire, rédacteur ArtThreat.net
358: Claude Maheu, musicien
359: Hernán Maria, musicien
360: Omar Majeed, réalisateur, Taqwacore – the Birth of Punk Islam
361: Iphigénie Marcoux-Fortier, cinéaste, Multi-Monde productions
362: Natalie Marshik, artiste
363: Billy Mavreas, artiste
364: Valerian Mazataud, photographe
365: Kirsten McCrea, artiste, Papirmasse
366: Taliesin McEnaney, artiste de théâtre
367: Catherine McInnis, artiste
368: Meek, musicien électronique
369: Feroz Mehdi, réalisateur/activiste
370: Elany Mejia, musicien
371: Amy Miller, réalisatrice
372: Jeff Miller, auteur
373: Claude Mongrain, sculpteur
374: Émilie Monnet, chanteuse, Odaya
375: Evan Montpellier, musicien
376: Vincent Moon, réalisateur
377: Allison Moore, artiste
378: Katie Moore, chanteuse
379: Jean-Guy Moreau, humoriste
380: Dominic Morissette, cinéaste/photographe
381: Nadia Moss, artiste / musicienne
382: Krista Muir, musicienne, Lederhosen Lucil
383: Mehdi Nabti, musicienne
384: Tyler Nadeau, photographe
385: Dimitri Nasrallah, auteur
386: Rawane Nassif, réalisatrice
387: Pamela Navarrete, artiste
388: Norman Nawrocki, artiste
389: Joshua Noiseux, photographe
390: Kelly Nunes, DJ
391: Alexis O’Hara, artiste
392: Sean O’Hara, fondateur Alien 8 Recordings
393: Sarah Pagé, musicienne
394: Cléo Palacio-Quintin, musicienne/compositrice
395: Catherine Pappas, réalisatrice
396: Marie-Hélène Parant, artiste
397: Richard Reed Parry, musicien, Bell Orchestre
398: Alain Pelletier, artiste multidisciplinaire
399: Yann Perreau, auteur/compositeur/interprète
400: Sara Peters, poète
401: Pierre Petiote, artiste
402: Mauro Pezzente, musicien, fondateur Casa del Popolo
403: Alisha Piercy, artiste / écrivaine
404: Pierre-Emmanuel Poizat, musicien
405: Carole Poliquin, réalisatrice
406: Janet Ponce, chanteuse/auteure/compositeure
407: Jeannette Pope, réalisatrice
408: Rozenn Potin, réalisatrice
409: Levana Prud’homme, danseuse
410: Jean-François Poupart, écrivain/professeur
411: Thea Pratt, artiste
412: Alain G. Pratte, photographe
413: Kern Prophete, chanteur hip-hop
414: Jesse Purcell, artiste, Just Seeds
415: Nelly-Eve Rajotte, artiste
416: Anne Ramsden, artiste
417: Nada Raphael, réalisatrice/ photographe documentaire
418: Louis Rastelli, écrivain
419: Antonella Ravello, photographe
420: Coire Ready Langham, artiste de cirque
421: Fred Reed, écrivain
422: Victor Regalado, artiste
423: Monique Régimbald-Zieber, artiste
424: Alain Reno, illustrateur
425: Gisela Restrepo, artiste
426: Gerard Reyes, danseur
427: Andrea Rideout, artiste de théâtre
428: Coco Riot, artiste
429: Matana Roberts, saxophoniste
430: Antoine Rouleau, photographe
431: Guilaine Royer, travailleur culturel
432: Daïchi Saïto, réalisateur
433: Trish Salah, poète
434: Babak Salari, photographe
435: Samian, artiste hip-hop
436: Miriam Sampaio, artiste multidisciplinaire
437: Marjolaine Samson, artiste
438: Julian Samuel, artiste/écrivain
439: Ariel Santana, artiste
440: Claire Savoie, artiste
441: Dorothy Saykaly, danseuse contemporaine
442: Patti Schmidt, animatrice/commentatrice culturelle
443: Anita Schoepp, artiste/musicienne
444: Nadia Seboussi, artiste
445: Fran Sendbuehler, graphiste
446: Marcel Sévigny, auteur
447: Sam Shalabi, musicien/compositeur
448: Nik Barry-Shaw, écrivain
449: Eric Shragge, auteur/professeur
450: Bridget Simpson, musicienne
451: Michelle Smith, réalisatrice, Productions Multi-Monde
452: Prem Sooriyakumar, réalisatrice
453: Jennifer Spiegel, écrivaine
454: Laurel Sprengelmeyer, artiste, Little Scream
455: Darlene St. Georges, éducatrice en art
456: Alexandre St-Onge, artiste sonore/musicien
457: Allison Staton, photographe
458: Victoria Stanton, artiste
459: Gab Perry Stensson, artiste
460: Martha Stiegman, réalisatrice/auteure
461: Kiva Stimac, artiste, fondateur Casa del Popolo
462: Brett Story, réalisateur
463: John W. Stuart, dessinateur graphique/écrivain
464: Caroline Tagny, graphiste
465: Roger Tellier-Craig, musicien
466: Vincent Tinguely, poète/écrivain
467: Juan Toro, musicien
468: Tanya Tree, réalisatrice
469: Benoît Tremblay, artiste
470: Philippe Tremblay-Berberi, réalisateur
471: Gisèle Trudel, artiste, Ælab
472: Svetla Turnin, directeur exécutif Cinema Politica
473: André Turpin, cinéaste
474: Armand Vaillancourt, peintre/sculpteur
475: Alejandro Saravia, écrivain
476: Sylvie Van Brabant, réalisatrice
477: Niek van de Steeg, artiste
478: Francis Van Den Heuvel, réalisateur
479: Rahul Varma, auteur dramatique
480: Chris Vaughn, violoniste, Free Benny Meanz
481: Adrian Vedady, musicien de jazz
482: Felipe Verdugo, pianiste
483: Sebastián Verdugo, pianiste
484: Stefan Verna, réalisateur
485: Gilles Vigneault, artiste
486: Sam Vipond, musicien
487: Tamara Vukov, réalisatrice/académicienne
488: Shannon Walsh, réalisatrice
489: Francesca Waltzing, artiste
490: Erin Weisgerber, artiste sonore
491: David Widgington, journaliste/réalisateur
492: Ezra Winton, fondateur Cinema Politica
493: Britt Wray, artiste
494: Gary Worsley, fondateur Alien 8 Recordings
495: Dexter X, réalisateur/musicien
496: Eileen Young, artiste en art visuel
497: Karen Young, chanteuse/compositeure
498: Kevin Yuen Kit Lo, dessinateur graphique
499: Michael Zaidan, réalisateur
500: Kim Zombik, chanteur

46 commentaires »

No racism no zionism

Commentaire par Karam Tannous — 26 février 2010 @ 12:29

My work explores the sinster and tragic consequences of 1917, 1948 on destiny of a people.

Commentaire par Eman Haram, Artist — 26 février 2010 @ 14:24

We will not go away. We will counter every deliberate and systematic act of erasure and destruction, with multiple acts of re-construction, re-narration and re-creations.

Commentaire par Eman Haram, Artist — 26 février 2010 @ 14:38

J’ai publier cette nouvelle sur mon blogue et j’appui la lutte du peuple Palestinien…et soutien la campagne internationale BDS

Commentaire par Serge Adam — 26 février 2010 @ 14:56

Après les artistes, il faudrait peut-être aussi faire faire une déclaration semblable aux intellectuels québécois. Pour accroitre l’impact de la campagne internationale de boycott.

Commentaire par Bernard Gadoua — 26 février 2010 @ 15:43

I Love that ,keep it up.

Commentaire par Ghassan Masoud — 26 février 2010 @ 22:35

The boycott of Israel must be made into a precise programme to distinguish it from a boycott of Jewish people per se. There must also be a distinction made between a boycott of Israel rather than Israelis. Furthermore the Arabic word Yehudi should not be used to refer to Israel or Zionists since it is the name of the entire Jewish People who are in our majority not affiliated to Israel.

Commentaire par Abraham Weizfeld — 27 février 2010 @ 15:16

Le peuple Palestinien a le droit d’avoir une patrie.Il a assez souffert.J’appuie sa demande….La situation dans laquelle il se trouve doit avoir une fin.

Commentaire par Nelly Weiss — 27 février 2010 @ 17:25

Excellent travail Tadamon! Salutations solidaires aux artistes! Les jours d’impunité pour Israël sont comptés. Rien ne pourra arrêter la campagne internationale de boycott d’Israël. L’apartheid israélien se retrouvera au même endroit que l’apartheid sud-africain: au musée! Ce n’est qu’une question de (relativement peu) de temps avant qu’une masse critique de gens ne soit atteinte. Défenseurs d’Israël: quittez ce navire qui prend l’eau avant qu’il ne soit trop tard! Chantez avec le peuple palestinien le slogan anti-Apartheid d’Afrique du Sud: Amandla!

Commentaire par Denis KOSSEIM — 27 février 2010 @ 23:00

Congratulations to all the artists who signed and Tadamon for pulling this together! Viva Palestina!

Commentaire par Jerome — 28 février 2010 @ 3:28

WE WILL NOT GO DOWN….

Commentaire par Karam BEN MOHAMED — 28 février 2010 @ 7:57

Peace and love to Palestine.

Commentaire par tony durke — 28 février 2010 @ 14:37

ONE day the wall will fall on the head of the Israeli coverment.

Commentaire par Fahed Halabi — 28 février 2010 @ 16:45

From a T.O Artist/Teacher: Thank you Montreal artists for this awesome declaration against Israeli Aparthied…there are thousands of other Canadian artists ready to sign this declaration if it goes national. In peace~davis

Commentaire par Davis Mirza — 1 mars 2010 @ 3:39

Vanessa Redgrave says referring to Israel as an apartheid regime is counterproductive to peace and to justice for the Palestinian people.

“If attitudes are hardened on both sides, if those who are fighting within their own communities for peace are insulted, where then is the hope? The point finally is not to grandstand but to inch toward a two-state solution and a world in which both nations can exist, perhaps not lovingly, but at least in peace,” said Redgrave in an October 2009 letter to the New York Review of Books.

Commentaire par Helen — 1 mars 2010 @ 15:13

Honte à Gilles Vigneault et Richard Desjardins. Ces 2 individus savent sans doute créer de la fiction poétique mais ils peinent, manifestement, à voir les choses telles qu’elles sont, particulièrement quand elles se déroulent au-delà du bout de leur nez.

Et les 500 autres artistes ? Ils font figure d’ »idiots utiles » (l’expression vient de Lénine) aux yeux des islamistes et des terroristes au pouvoir à Gaza: par leur signature, ces artistes se croient utiles à la cause palestinienne alors qu’ils ne réussissent qu’ à faire la promotion de la cause islamiste et terroriste.

La semaine contre l’apartheid (sic) israélien est un dérapage odieux qui mérite l’opposition et la condamnation de tous ceux qui ont une tête sur les épaules, connaissent le sens des mots, ou, simplement, ne sont pas incultes. Tous ceux, en sommes, qui ne sont pas les esclaves superficiels de leurs émotions, défaut sérieux que je ne serais pas surpris de trouver chez la plupart des artistes signataires.

Rappelons aux 500 signataires, que Gaza a une frontière avec l’Egypte : Gaza ne peut être une « prison » (sic) que si l’Egypte bloque, aussi, sa frontière avec Gaza. Si apartheid il y a, il est donc à la fois israélien et égyptien. Quand y aura-t-il « semaine contre l’apartheid israélien et égyptien », ou jointe condamnation de l’Egypte et Israel ? Rép. : aux calendes grecques. Car le but de ces organisateurs est : ventiler une haine atavique et la ventiler unilatéralement, de manière qui attire peu de conséquences personnelles. En clair : dans la direction du seul pays juif de la planète plutôt que dans la direction (oh ennuyante, oh plus complexe, puisqu’il y a 60 autres pays musulmans) d’un pays juif et d’un pays musulman !

(Notons au passage que l’Egypte a entièrement raison de lutter avec Israël contre le terrorisme islamiste.)

Québécois déçus par la pusillanimité de ces artistes dépourvus de discernement, réconfortez-vous: les autres signataires me semblent de purs inconnus. Parmi les plus grands artistes québécois, des douzaines et des douzaines (l’immense majorité) n’ont pas signé cette pétition incendiaire qui ne peut avoir qu’une conséquence prévisible: envenimer les choses là-bas en encourageant les Palestiniens à persévérer dans une direction extrémiste fermée aux compromis ; extrémisme qui dure depuis 60 ans sans jamais leur donner rien d’autre que plus de misère et de dépendance auto-infligée. Il y a du tragique à un peuple dont le motto officieux est, selon Abba Eban : « ne jamais rater une occasion de rater une occasion ». Si au moins les signatairs pointaient le peuple palestinien dans la bonne direction. Mais non : tout comme le fou regarde fixement le doigt du sage qui pointe vers la lune, ces artistes regardent fixement le doigt israélien au lieu de la solution si évidente ; refus du terrorisme, acceptation de compromis.

Si une majorité palestinienne avait été le moindrement ouverte à des compromis (une minorité palestinienne y a toujours été ouverte), il y aurait paix depuis belle lurette au Proche-Orient.

Un mot pour les journalistes québécois ou francophones. Pensez-vous vraiment que ces artistes connaissent quoi que ce soit à la situation là-bas? Non. Mais ils ont sans doute lu vos comptes-rendus, et vos comptes-rendus étaient, pour la plupart, sérieusement biaisés dans une direction pro-palestinienne ou négative envers Israël ; ils n’avaient rien d’une apparence de neutralité.

Avant de ridiculiser la crédulité et la naiveté de ces artistes dominés par leurs émotions beaucoup plus que par la raison et la connaissance, pointons donc du doigt les nombreux journalistes québécois qui les ont systématiquement désinformés sur ce sujet, et ce, depuis 40 ans. Quelques journalistes les ont informés avec compétence et objectivité (Lysiane Gagnon, par exemple), mais ils sont fort minoritaires. Les autres ont systématiquement utilisé un vocabulaire très peu neutre qui était souvent dénigrant envers Israel: un vocabulaire qui correspondait, le plus souvent, à la manière palestinienne de voir les choses, et qui correspondait très rarement à la manière israélienne de voir les choses.

Commentaire par Michael Laughrea — 1 mars 2010 @ 23:19

Bravo aux signataires, et 500 fois merci !

Commentaire par Marie Paradis — 2 mars 2010 @ 15:47

Le boycott anti-israélien touche des gens de tous les bords politiques, de toutes les origines ethniques (juifs, druzes, bédouins, circassiens, arabes musulmans et chrétiens). Si le blocus était raciste, la Cisjordanie serait bloquée. 500 artistes adoptent le réflexe nauséeux du boycott d’un pays pour favoriser l’organisation terroriste du Hamas qui avec le Hezbollah sert de supplétifs au régime islamo-fasciste iranien qui opprime son propre peuple et pend ses opposants. Vous oubliez les blessés du Fatah achevés dans les hopitaux par les tueurs du Hamas au moment de la prise de la bande de Gaza, le kidnapping d’un soldat israélien Guilad Shalit sur le sol d’Israël, les bombardements des écoles de Sderot depuis 8 ans, etc.
Merci de m’indiquer où je peux renvoyer mes CD de musique québecoise (j’ai notamment une bonne douzaine de CD de Gilles Vigneault). Quant à mes vacances au Canada, je m’engage à ne pas sortir des quartiers anglophones de Montréal pour m’assurer que l’argent que je dépense ne sert pas à éditer “le protocole des Sages de Sion” ou à payer la corde des pendaisons ordonnées par Ahmadinejedad. Quand je voudrai voir des baleines j’irai à Vancouver et j’oublierai définitivement Tadoussac et le vieil antisémitisme québecois du type “allez sois généreux, ne fais pas le juif”. Et puis la vraie culture française est à Paris, chez vous elle dégénère dans la haine.
Chez nous en France (la vraie France), le boycott anti-israélien ou anti-juif est condamné par les tribunaux de la République.

Vive la République. Vive la France.

Jonathan Pearson

Commentaire par Jonathan Pearson — 3 mars 2010 @ 6:11

with all the respect for the Palestinian struggle for interdependency and for art, the real responsible for the cinema closure in the Gaza strip is Hamas and not Israel. 9 operating cinemas in Gaza strip were closed after a violent demonstration of Hamas in 1995 and never reopened again, even after the Israeli withdrawal. in your post and and on your website, you don’t even mention that in the Gaza strip there is a radical Islamic regime that doesn’t allow artistic manifestations (like in Afghanistan during the taliban). except for a martyr movies as “Imad Akal” (if you consider it art…). it’s ok to blame Israel for many things but i think you should also self-criticize what is happening inside the Palestinian society. i know that my comment doesn’t support your cause 100% and might not publish it, but sometime the reality is more complex then Israel – bad, Palastinians – good.

Commentaire par Assaf Ruder — 6 mars 2010 @ 6:48

Are you also against Palestinian murderous terror? Against their religious zealousness? Their lack of tolerance towards Christian Arab minority? Their gender based discrimination? their historical lies?

Do you support, like them, the total destruction of the state of Israel? their constant bombardment of Israeli cities?

Israel is no saint, but nor are the Palestinians. Your ignorance does not bring peace, but make it more difficult to achieve it.

Commentaire par Aviv — 6 mars 2010 @ 10:27

funny cause in gaza there is no culture at all !!
israel dont control of gaza the hamas is !
the islam is very democracy….go back to read and learn fools.

Commentaire par niv — 6 mars 2010 @ 12:57

I think it’s a wonderful thing that all you people sign and support a pettition without really knowing the facts… I think I will start a pettition of my own – “A call from worldwide artists to support the international campaign for Boycott, Divestment, and Sanctions against Canadian apartheid of the martians….”
About as logical and true as yours.
I can’t believe how ignorant people can be. Stop feeding off of the one-sided media reports! if either one of you spent only a couple of weeks in israel, you would have understand that there is no apartheid, nor anything that even resambles it. It’s funny how you people support those who don’t care for human rights, women rights, gay rights, or even free speech, and go against the only country in the middle-east that does! We have arab members of the parlament, and the arab people in israel have more rights than every other arab in any other muslim country! I guess it’s easier to put your name down on a stupid pettition then actually trying to understand and know the situation…

Commentaire par Nagash — 6 mars 2010 @ 13:11

there is Culture in Afghanistan ,Sudan the same here in gaza !!
why are you publish so much lies ? what do you know about the palastinian history at all ?
in israel there is 20 % of arab muslim Citizens !!!
israel is the only Democratic country in the middel east !!!
what do you know about the claims of the Palestinian ?
do you heard the name jordan kingdom and Saudi Arabia and how they established ?
Excuse me you dont know s….. you part of Islamic Radical Campaign !!!
i wonder why we dont hear your voices over other Injustices all over the world …
if only one of you will learn the real facts open books and try the find the truth ill be glad/ mean while you supporting terrorist groups not nation or tribe.

Commentaire par niv — 6 mars 2010 @ 13:24

your all so one sided about things you dont really know.it’s amazing
keep watching the paliwood show…. have a nice day
i’m here and you wont change that.
adam from israel

Commentaire par adam — 6 mars 2010 @ 14:09

Apartheid Week – Hypocrisy at its Best

By: JONATHAN DAHOAH HALEVI
Published: March 2nd 2010

“…The Canadian artists blame Israel for intentionally harassing and bringing disaster to the peaceful Palestinian people during more than 60 years and fail to mention the word “terrorism” even once.

Their account of the historical events as they appear in the statement is to say the least distorted. One paragraph within the long list of “crimes” accuses Israel of deliberately oppressing the Palestinian cultural activity as follows:

“During the first and second intifadas, Israel invaded, ransacked, and even closed down cinemas, theatres and cultural centers in the occupied territories. These deliberate attempts to stifle the Palestinian cultural voice have failed and will continue to fail.” [1]

The five hundred Canadian artists virtually portray Israel as a pinnacle of human evil and their basic premise assumes, as it may be understood, that without Israeli “crimes,” the pluralist and liberal Palestinian culture in the Gaza Strip would be flourishing with cinemas, theatres and cultural centres.

This thesis has one little weakness. Not a single cinema house exists in the Gaza Strip and Hamas – NOT Israel – is responsible for “stifling the Palestinian cultural voice”. Saud Abu Ramadan, a Palestinian reporter working for the Chinese newswire Xinhua, published an article on July 26, 2009 reviewing the history of cinemas in the Gaza Strip while interviewing 57-year old Adnan Abu Beid, who used to run the most famous and biggest movie house in downtown Gaza city called al-Nasser, and today makes his living as a greengrocer. [2]

Abu Ramadan notes that “after Israel signed Oslo accords with the Palestinians, when the Palestinian National Authority (PNA) was established after the Israeli army withdrew from Gaza city, al-Nasser movie house was reopened for a few months, but later it was burned and destroyed by angry Islamic Hamas demonstrators in 1995.” Abu Beid told Xinhua that after al-Nasser movie house was burned and destroyed, “I hid my film archives and decided to become a vegetable vendor.” He added that his archives “are the only that remained after all the movie houses had either shut down, or been destroyed by Hamas activists during demonstrations in Gaza city in 1995.”

By 1994, after the PNA was established, there were nine movie houses in the Gaza Strip, including al-Nasser, al-Samer, al-Jalaa’ and Amer in Gaza City, al-Khadra and al-Hamra in the city of Khan Younis and three other movie houses in the town of Rafah. However, Abu Beid said, “Nowadays, there is ignorance of movie houses and the contribution they could make in developing our culture.” He went on, saying that “many people who think about reopening movie houses in Gaza are afraid that it would be attacked, burned and destroyed.”

Xinhua’s reporter mentioned in this regard that ”radical Islamic groups have carried out in the last several months a series of attacks against internet cafes, coffee shops and other entertainment sites in the Gaza Strip, claiming that these places are used to spread immoral principles among the young Palestinian generations.” He quoted the response of Osama el-Eassawi, the minister of culture for the Hamas government in Gaza, who conditioned the reopening of any of the closed Gaza movie houses upon respecting the laws and the traditions of the Islamic society by saying the following: “We support the art that respects the moral and religious traditions and cultures.”

The first and yet only movie produced by the Hamas government was Imad Aqel which was screened at the Islamic University of Gaza, in the absence of cinemas in the Gaza Strip. The movie tells the heroic story of the senior terrorist of Hamas, who established its military wing, and is held accountable for the killing of 13 Israeli soldiers and civilians. The film cost $120,000 and was written by Mahmoud al-Zahar, a senior leader of Hamas. Reuters’ reporter, Nidal al-Mughrabi, describes the reaction of Palestinian spectators who came in masses to watch the first movie ever to be screened under Hamas Islamic rule. “The audience in the Gaza Strip clapped and cheered as the actor delivered the movie’s most memorable line: “To kill Israeli soldiers is to worship God.” Majed Jendeya, the movie’s German-trained director, was quoted as saying that he hopes to screen the film at the Cannes festival in France. [3]

In conclusion, it is tremendously hard to comprehend how a huge group of Canadian artists are speaking with big words on human rights and at the same are silent on Hamas oppression of any free cultural activity, and even worse on its pursuance of nurturing a culture of death. I desperately want to believe that the Canadian artists were not familiar with the facts before signing the distorted statement.

Commentaire par samantha shephard — 6 mars 2010 @ 14:16

in all the critiques towards the Artists Against Israeli Apartheid letter there has failed to be a concrete challenge to the facts outlined in the letter, as outlined below…

“Palestinian citizens face an entrenched system of racial discrimination and segregation, resembling the defeated apartheid system in South Africa. A matrix of Israeli-only roads, electrified fences, and over 500 military checkpoints and roadblocks erase freedom of movement for Palestinians. Israel’s apartheid wall, which was condemned by the International Court of Justice in 2004, cuts through Palestinian lands, further annexing Palestinian territory and surrounding Palestinian communities with electrified barbed wire fences and a concrete barrier soaring eight meters high.

Gaza remains under siege. Israel continues to impose collective punishment on the 1.5 million Palestinians of Gaza, who still face chronic shortages of electricity, fuel, food and basic necessities as the campaign of military violence executed by the apartheid state of Israel endures. UN officials recently observed that the “situation has deteriorated into a full-fledged emergency because of the cut-off of vital supplies for Palestinians.” As a result of Israeli actions, Gaza has become a giant prison.”

concerning the reality of Israeli apartheid in Palestine, there is an excellent article written by the South African anti-apartheid campaigner Desmond Tutu, linked below…

* Apartheid in the Holy Land
http://www.guardian.co.uk/world/2002/apr/29/comment

Commentaire par Stefan Christoff — 6 mars 2010 @ 19:15

Honte à Karen Young, Jean-Guy Moreau, Shafik de Loco Locass, Yann Perreau, Armand Vaillancourt, Mado Lamothe, François Avard, Samian, Paul Ahmarani, et Lhasa de Sela.

Honte à ces artistes qui, comme Gilles Vigneault et Richard Desjardins, semblent animés par la haine puisqu’ils ont signé un texte incendiaire, calomniateur, ignoble, crapuleux et trompeur qui nous ramène presqu’au temps odieux de l’infâme résolution « sionisme = racisme » d’il y a 35 ans (résolution depuis longemps répudiée par tous les pays de la Terre sauf des pays musulmans et 3 pays communistes (1)).

Honte à tous ces artistes qui ne peuvent que penser à boycotter des produits israéliens, au lieu d’aider vraiment et directement les Palestiniens: faire le mal leur vient donc à l’esprit avant de faire le bien; faire du négatif leur vient à l’esprit avant de faire du positif.

En effet, combien de bourses d’études pour enfant palestinien en leur nom? Combien d’ailes d’écoles ou d’hôpital en Judée-Samarie en leur nom? Combien d’arbres plantés en leur nom? Combien de sculptures, de peintures données aux Palestiniens en leur nom ? All hat no horse! All talk no action! Ils déshonorent le Québec vaillant par leur geste non constructif.

Bravo à Jacques Brassard qui, dans son blogue (2), a écrit 7 paragraphes bien sentis à ces artistes, paragraphes qui auront au moins clarifié une chose : la haine les anime, à moins que ce ne soit une ignorance crasse du sujet sur lequel ils s’expriment.

Ces artistes devraient comprendre le pouvoir des mots. Mais ils s’en sont servi pour se lancer dans une invective qui contient des assauts radicaux contre les faits et la vérité : une telle somme de pusillanimité n’est pas acceptable, et doit être dénoncée.


 (1) http://en.wikipedia.org/wiki/United_Nations_General_Assembly_Resolution_46/

(2) http://blogjacquesbrassard.blogspot.com/

Commentaire par Michael Laughrea — 8 mars 2010 @ 11:39

Certains commentaires ici font sourire, certains arguments font pitié et une certains violence incite à penser que les artistes ont, comme il se doit, su toucher une corde sensible et montrer la voie de la conscience.

N’oubliez pas que ce sont bien les 4 frontières de Gaza, y compris la mer et la frontière égyptienne, qui sont gérées par israel, comme le rappelle Marianne Blume dans cet entretien:
http://www.youtube.com/watch?v=706UnWD0yvM

Commentaire par Dror — 8 mars 2010 @ 12:43

L’argument qui revient sans cesse est “pourquoi s’en prendre à israel et pas aux autres pays où il existe aussi des injustices?”.

Puisqu’il faut encore le répéter, rappelons que les mouvements de solidarité avec la Palestine dans le monde entier, et Tadamon à Montréal ne fait pas exception, sont constitués de citoyens de conscience qui sont, bien entendu, concernés par d’autres souffrances de par le monde. Au même titre que nombre des artistes signataires de la lettre contre l’apartheid israélien, Tadamon est signataire d’une quantité d’appels qui condamnent l’injustice et l’oppression partout où elles se trouvent. Nous nous battons pour la justice en Egypte comme au Canada, en France comme en Afghanistan, en Irak comme en Tchétchénie… alors pourquoi pas en Palestine?!

I will repeat this for the anglophones: international solidarity with the Palestinians, and Tadamon is no exception, is carried out by people who are, of course, concerned by other causes throughout the world. Like many of the artists who signed the letter against israeli apartheid, Tadamon endorses many appeals that condemn injustice and oppression, wherever they stand. We fight for justice in Egypt and in Canada, in France and in Afghanistan, in Irak and in Tchetchnia… so why not Palestine?!

Commentaire par Dror — 8 mars 2010 @ 12:44

Dr. Michael Laughrea,
Les gens sont tannés. Tannés de 40+ d’occupation, de promesses brisées, de mensonges, de guerres et on cherche une solution. On a TOUT essayé mais l’Israel continue de construire des colonies et des murs et REFUSE d’établir un état pour les palestiniens qui est juste et équitable. Il y A déjà des bourses, des arbres plantés et des programmes sociaux dans les territoires occupés mais à quoi ça sert si l’Israel d’un coup de main déracine les arbres, emprisonnes les gens sans proces et tue 1400 personnes. Est-ce que une bourse de recherche garantie des droits fondamentaux? La paix? la justice? ce que vous suggèrez est beau sur papier mais n’a AUCUNE application dans la réalité sur le terrain. Proposez plutôt la création d’un état! Ou des droits justes et équitables! Ces artistes savent que ceux qui peuvent faire des changements dans ce conflit sont ceux avec le pouvoir, avec la 4ieme plus grosse armee de la terre et ils veulent leur faire savoir que si vous voulez des relations normales avec l’occident: comportez vous avec des valeurs avec lesquels on est d’accord.

Commentaire par Thomas — 9 mars 2010 @ 21:57

Though certainly contentious and far from unequivocal, one must by necessity have the courage to assume a moral position as regards the state of Israel’s (in collusion with the United State’s with the tacit support of the Canadian’s) treatment of the Palestinian people. Many of the comments posted on Tadamon explicate contingencies and nuances and though thoughtful and well-intentioned they nonetheless fail to respond to the irrefutable fact that the treatment of the Palestinians in the West Bank and particularly in Gaza is morally offensive and in terms of international law illegal.

Stating this does not in any way make other acts in other regions whether they are committed by so-called terrorists or by other governments less odious. All too often one hears, as a few of those who have commented have stated, that the reality on the ground in the Middle-East is so complex that no one can claim to fully understand let alone pass judgment. Within a certain context that is certainly true. What after all do a bunch of artists residing in Montreal know about all the idiosyncrasies of Middle-East politics? I suspect some know more than others. But, however valid that may be, it is besides the point; the point being that what we do know and not only have a right but an obligation to state openly and unequivocally is that the government of Israel’s treatment of the Palestinians is morally offensive and must stop.

It is with the deepest respect and admiration for the Jewish people that I feel compelled to name the government of Israel’s policy toward the Palestinians as a moral wrong. I know a considerable number of Israeli’s together with an increasing number of the international community of Jews both Zionist and non-Zionist would agree with this and are working hard to have their voice be heard. It is therefore equally odious to witness our own government’s attempt to stifle any debate in it’s McCathyesque effort to equate criticism of Israeli state policy with anti-Semitism. This is a frightening and again morally reprehensible precedent against which many more than 500 voices should and must be raised.

It is therefore with these considerations in mind (and many more besides for which the space here prohibits me from listing) that I willingly add my voice to the list of those who support doing whatever is necessary in a peaceful manner to coerce the state of Israel, together with those governments who support them, to raise themselves to a higher standard, to understand that an apartheid like solution will never be a solution only an unending misery for all concerned.

Dwight Smith, writer

Commentaire par dwight smith — 10 mars 2010 @ 12:41

what a bunch of garbage signed by ignorant artists who obviously have no time to read anything but a senseless petition. If the people of gaza wanted anything resembling a productive life, they would not have destroyed everything israel left for them when they exited gaza,they would not let themselves be used as pawns by the arab world, and would have moved forward on their own with all the help in the world. Instead, they throw cement blocks, use their own people to blow themselves up (i hope they find the 70 virgins) and concentrate on revenge for the physical wars THEY start. After receiving years of rocks and bombs, what is Israel to do to defend itself? I will divest myself of any so-called art of these petitioners-most of whose names are unknown to me.

Commentaire par gloria shaffer — 14 mars 2010 @ 22:37

Thank you Dwight.

Commentaire par Kevin Lo — 15 mars 2010 @ 2:43

Wow ! The hasbarists or megaphone people are in full attack mode. They are so laughable and easy to detect….. Get a life !!

Commentaire par J-F — 17 mars 2010 @ 13:55

Bravo à tous ces artistes! Cependant, il faudrait que ces derniers en parlent davantage sur la place public. Tous ensemble pour soulager la misère de ces malheureux Palestiniens!

Commentaire par Luc — 20 mars 2010 @ 12:25

Oui, nous appuyons cet engagement des artistes canadiens à faire prendre conscience aux peuples de l’est de la Méditerranée qu’ils doivent se respecter mutuellement et vivre en paix, en arrêtant de se mettre les bâtons dans les roues de leurs développements respectifs !

Commentaire par Geneviève PIRET — 7 avril 2010 @ 13:26

Je suis fiere d’ajouter ma voix a celles de nos artistes . Israel est un etat voyou qui ne respecte pas les resolutions de l’ONU , qui pratique l’Apartheid envers ces propres citoyens non juifs et qui menace la paix dans le monde.
Ceux et celles qui supportent le regime sioniste font partis d’un club select HASBARA , ils surfent 24heure sur 24 et sont payes par le gouvernemt pour desinformer, amalgamer et essayer de justifi

Commentaire par Sonia Eladi — 22 avril 2010 @ 13:56

Greetings.
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It occurs to me that the world does not know who are the Palestinians.
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It goes like this:
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The Canaanite civilization was comprised of dozens of city state like communities. Not unlike ancient Ireland or Scotland.
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Enter into Canaan, the Jews with the beginnings of monothesim, from Eastern Arabia; likely, what is now called Iraq. Fleeing from what the Jews described as famine, they entered Egypt. The Egyptians welcomed them at first, yet if what Mark Twain declared, (paraphrase) Let us quote Genesis chapter 47, We’ve all heard of the years of plenty, and the years of famine in Egypt, and with that, Joesph and the Hebrews decided to make a corner in the markets. So, during the years of plenty, Joesph and the Hebrews bought up all the land to the last acre, all the livestock to the last hoof…all the wheat to the last bussel…This, contended Twain, was why the Egyptians enslaved the Jews.
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Well, somehow, some of them escaped, not a million, it’s ridiculous, and found their way back to Canaan, monotheism shawdowing them. Monotheism began to be embraced by the Canaanites. A Canaanite peasantry revolt occurred, was successful, and the birth of Israel began.
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Decades more than a thousand years later, while under the Roman ” occupation” (they didn’t like it), the Jews revolted and Jerusalem suffered the consequences. Not all of the Jews were killed or fled, however. Tens of thousands remained. Many had or were converting to Christianity, many weren’t.
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Circa 170 CE: Roman Emporer Hadrian (Hadrian’s Wall – UK) renamed the region Palestine. Eventually many of the Jews, who were Christians as well, came to know themselves as Palestinians.
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Circa 650 CE: Islam swept across the region and conversions ensued.
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Circa 1948 CE: Zionism conquers Palestine. So, who are the Palestinians; who are the Zionists?
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Circa, decades after the year one: Some Jews flee, some remain. The Jews that flee incorporate European, Russian and other DNA into their identity. The Jews that remain, largely come to know themselves as Palestinians.
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Many of the Zionists are the decendants of the Jews, with additional, non indiginous DNA, who are descended from the original Canaanites. Their ancestors left, and they returned.
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The Palestinians are largely the direct descendants of the original Jews, who were descended from the original Canaanites.
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The Palestinians ancestors never left. Two, three, four thousand years of the same, indiginous people. The Canaanites became the Jews who became the Palestinians.
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The Palestinians are the direct descendants of the original, indiginous people.

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Commentaire par Louis Asfour — 6 mai 2010 @ 19:15

Encore une fois nos artistes les plus engagés n’ont pas peur de se mouiller pour une cause. Félicitations. Juifs, Palestiniens et tout autres assoiffés de justice pourront trouvés une solution. Il faut cesser de voir le Moyen-Orient comme une pièce de théâtre au dénouement fatal. Il faut agir.

Commentaire par Jérémie Lockwell — 21 mai 2010 @ 2:30

This is pure propaganda. What an astounding lack of fact and truth! It’s just shocking and sad.

Commentaire par Chris Thomas — 4 juin 2010 @ 7:03

Justement : La France est classé 44 e pour la liberté de la presse : c’est tout dire.

Le Québec n’est pas la France.

En outre, le boycott a été utilsé dans diverses situations, y compris contre l’Afrique du Sud, dont Israël, sans surprise, a été allié solide et durable.

De ce fait, Israël mérite 2 fois le boycott.

Commentaire par Bob — 16 novembre 2010 @ 2:17

Et aussi parce qu’Israël est le seul pays à s’être assis sur 500 résolutions de l’ONU, seul cadre de référence admis par la communauté internationale pour la négociation, ce qui signifie qu’Israel méprise totalement et la France, et le Québec et tous les pays, hormis les États-Unis.

Commentaire par Bob — 16 novembre 2010 @ 2:19

Apartheid Week – Hypocrisy at its Best

By: JONATHAN DAHOAH HALEVI
Published: March 2nd 2010

“…The Canadian artists blame Israel for intentionally harassing and bringing disaster to the peaceful Palestinian people during more than 60 years and fail to mention the word “terrorism” even once.

Their account of the historical events as they appear in the statement is to say the least distorted. One paragraph within the long list of “crimes” accuses Israel of deliberately oppressing the Palestinian cultural activity as follows:

“During the first and second intifadas, Israel invaded, ransacked, and even closed down cinemas, theatres and cultural centers in the occupied territories. These deliberate attempts to stifle the Palestinian cultural voice have failed and will continue to fail.” [1]

The five hundred Canadian artists virtually portray Israel as a pinnacle of human evil and their basic premise assumes, as it may be understood, that without Israeli “crimes,” the pluralist and liberal Palestinian culture in the Gaza Strip would be flourishing with cinemas, theatres and cultural centres.

This thesis has one little weakness. Not a single cinema house exists in the Gaza Strip and Hamas – NOT Israel – is responsible for “stifling the Palestinian cultural voice”. Saud Abu Ramadan, a Palestinian reporter working for the Chinese newswire Xinhua, published an article on July 26, 2009 reviewing the history of cinemas in the Gaza Strip while interviewing 57-year old Adnan Abu Beid, who used to run the most famous and biggest movie house in downtown Gaza city called al-Nasser, and today makes his living as a greengrocer. [2]

Abu Ramadan notes that “after Israel signed Oslo accords with the Palestinians, when the Palestinian National Authority (PNA) was established after the Israeli army withdrew from Gaza city, al-Nasser movie house was reopened for a few months, but later it was burned and destroyed by angry Islamic Hamas demonstrators in 1995.” Abu Beid told Xinhua that after al-Nasser movie house was burned and destroyed, “I hid my film archives and decided to become a vegetable vendor.” He added that his archives “are the only that remained after all the movie houses had either shut down, or been destroyed by Hamas activists during demonstrations in Gaza city in 1995.”

By 1994, after the PNA was established, there were nine movie houses in the Gaza Strip, including al-Nasser, al-Samer, al-Jalaa’ and Amer in Gaza City, al-Khadra and al-Hamra in the city of Khan Younis and three other movie houses in the town of Rafah. However, Abu Beid said, “Nowadays, there is ignorance of movie houses and the contribution they could make in developing our culture.” He went on, saying that “many people who think about reopening movie houses in Gaza are afraid that it would be attacked, burned and destroyed.”

Xinhua’s reporter mentioned in this regard that ”radical Islamic groups have carried out in the last several months a series of attacks against internet cafes, coffee shops and other entertainment sites in the Gaza Strip, claiming that these places are used to spread immoral principles among the young Palestinian generations.” He quoted the response of Osama el-Eassawi, the minister of culture for the Hamas government in Gaza, who conditioned the reopening of any of the closed Gaza movie houses upon respecting the laws and the traditions of the Islamic society by saying the following: “We support the art that respects the moral and religious traditions and cultures.”

The first and yet only movie produced by the Hamas government was Imad Aqel which was screened at the Islamic University of Gaza, in the absence of cinemas in the Gaza Strip. The movie tells the heroic story of the senior terrorist of Hamas, who established its military wing, and is held accountable for the killing of 13 Israeli soldiers and civilians. The film cost $120,000 and was written by Mahmoud al-Zahar, a senior leader of Hamas. Reuters’ reporter, Nidal al-Mughrabi, describes the reaction of Palestinian spectators who came in masses to watch the first movie ever to be screened under Hamas Islamic rule. “The audience in the Gaza Strip clapped and cheered as the actor delivered the movie’s most memorable line: “To kill Israeli soldiers is to worship God.” Majed Jendeya, the movie’s German-trained director, was quoted as saying that he hopes to screen the film at the Cannes festival in France. [3]

In conclusion, it is tremendously hard to comprehend how a huge group of Canadian artists are speaking with big words on human rights and at the same are silent on Hamas oppression of any free cultural activity, and even worse on its pursuance of nurturing a culture of death. I desperately want to believe that the Canadian artists were not familiar with the facts before signing the distorted statement.

Commentaire par sg — 14 juin 2011 @ 10:32

Is there any “artist” out there that is known outside of his(her) district?

Commentaire par Shimon — 29 juin 2011 @ 16:48

Bonjour,
J’ai de la peine, parce que je vois qu’on cherche à promouvoir la haine entre les deux peuples alors que sur le terrain des ONG luttent pour permettre de se rencontrer, de voir comment vivre ensemble, réparer des injustices, etc. Regardez le travail aussi accompli à l’exemple de Wahat-al-Salam, la ferme collective où ensemble Arabes et Juifs travaillent cette terre que tous nous aimons. Regardez les acteurs palestiniens et israéliens qui tournent ensemble des films où l’on n’évite pas les réalités mais où on cherche des solutions. Boycott ? Alors tu mets aussi au chômage technique le petit producteur d’huile palestinien, tu boycottes du même coup tout le monde ? Et je perçois des relents nauséeux d’antisémitisme comme je ne suis pas du tout certain que ces “amis de la cause palestinienne” soit si ouverts au monde arabo-musulman, voyez la maltraitance contre les immigrés, au Québec autant qu’ailleurs, pas de leçon à donner. Tu veux la terre pour les Arabes ? Ok, mais tu traites comment l’Arabe dans tes rues ? Deux poids deux mesures. Et le Juif, tu ne l’as jamais accepté, et quand c’est un Juif de pays arabe, alors c’est la totale. Ne dis pas que je mens car j’en ai été témoin. Ici, comme en France et ailleurs, on n’aime pas plus les Juifs que les Arabes, c’est un fait. Alors qu’au moins on n’ait pas l’hypocrisie de se la jouer solidaires. Et s’il reste un tant soit peu de bon sens, au lieu de jaser apartheid et des mots/des maux qu’on ne connait pas, faisons plutôt bon accueil à nos frères arabes musulmans ou chrétiens, à nos frères juifs et à tous les autres, respectons les autochtones et travaillons pour la paix, la rencontre et le partage. Assez de paroles de haine déjà pour que nous en rajoutions !
Et si on se le demande, je suis bouddhiste mais je pourrais tout aussi bien être musulman, juif ou chrétien tant qu’on pratique la compassion/charité. Et je serais honoré d’appartenir à ces cultures qui ont donné le meilleur à l’humanité, loin de vos navrantes mesquineries actuelles.

Commentaire par Claude — 10 novembre 2012 @ 23:33

NO ONE IS FREE WHEN OTHERS ARE OPPRESSED

Commentaire par Blake — 14 janvier 2013 @ 17:46

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