SAMEDI : JOURNÉE INTERNATIONALE D’ACTION
JOURNÉE INTERNATIONALE D’ACTION CONTRE L’AGRESSION ISRAËLIENNE
SAMEDI le 22 juillet 2006
MONTREALDEUX POINTS DE DÉPART :
13h30, coin Mackay et de Maisonneuve
14h00, coin Peel et René-Lévesque
Au Complêxe Guy-Favreau
Tandis que les attaques israéliennes contre les populations civiles se poursuivent et s’intensifient jour après jour, tandis que les gouvernements du monde appuient la position d’Israël ou, au mieux, détournent leur regard de ses actions, il est temps pour le peuple de s’exprimer.
Le samedi 22 juillet 2006 a été désigné comme « Journée internationale d’action contre l’agression israélienne ». Nous demandons aux gens à travers le monde de profiter de cette occasion pour se lever et se faire entendre.
MISE À JOUR : Veuillez lire la suite pour une liste d’actions au Canada et ailleurs.
Organisez une action dans votre ville ou dans votre région, sous la bannière de la « Journée internationale d’action contre l’agression israélienne ». Si vous avez déjà prévu une action pour condamner les actes de l’État israélien ou en appui avec les peuples de la Palestine et du Liban, veuillez considérez établir un lien avec la journée internationale d’action.
Nous demandons à chaque ville / région de mandater une ou plusieurs personnes qui assureront la coordination de l’action. Veuillez nous faire parvenir leur adresse courriel pour que nous puissions créer une liste de diffusion pour la coordination.
Veuillez agir maintenant, il n’y a pas de temps à perdre. Merci.
Coordonnateurs pour Montréal:
Mohamed S. Kamel (mohamed@btceramique.com) +514.863.9202
Ehab Lotayef (ehab.lotayef@mcgill.ca) +514.941.9792
AUSSI, svp avertir lebanon.solidarity@gmail.com de votre action : http://sanayehreliefcenter.blogspot.com/
La « Journée internationale d’action contre l’agression israélienne » est endossée par les groupes montréalais suivants : Association des jeunes libanais musulmans, Association Al Hidaya, Forum Musulman Canadien, Musulmans Canadiens pour Jérusalem, Coalition contre la déportation de réfugiés palestiniens, International Solidarity Movement-Montréal, Des membres de la Diaspora libanaise, Des membres de la Diaspora palestinienne, Personne n’est illégal-Montréal, Mouvement d’Abord Solidaire, Palestiniens et Juifs Unis (PAJU), Parole Arabe, Présence musulmane Montréal (PMM), Le Regroupement des Algériens du Canada, Solidarité sans frontières, Solidarité pour les Droits Humains Palestiniens, Tadamon! Montréal, United Muslims Students Association, Voices of Conscience
——————
Canada
Montreal, Québec
Rassemblement en solidarité avec les peuples du Liban et de Gaza
Samedi 22 juillet
DEUX POINTS DE DÉPART :
14h00, Rassemblement au coin de Peel et René-Lévèsque
13h30, Rassemblement au coin de MacKay et de Maisonneuve (Métro Guy-Concordia)
Large coalition d’organismes
Contact : Mohamed Kamel, tél 514 863 9202, info@apm-ram.org
Ottawa, Ontario
Samedi 22 juillet, 11h00
Rassemblement sur la Colline Parlementaire
Coalition de professionels canadiens-arabes et d’association communautaires
Contact : Samer Roumani 613 794 4425 ou Hani Naser 819 923 9981
Waterloo, Ontario
Samedi 22 juillet, 17h00
Manifestation devant la mairie de Kitchener
« Arrêtez l’agression israélienne. Mettez fin à l’invasion de Gaza. N’attaquez pas le Liban. »
Étudiants pour les Droits Palestiniens, Waterloo, Ontario
Contact: Alex Psarreas, tel. 519-500-3330, alexpsarreas@yahoo.com
Toronto, Ontario
Samedi 22 juillet, 13h00
Rassemblement de masse au consulat israélien
180 Bloor Street West (à l’ouest de Avenue Road, côté nord de Bloor)
Coalition de Toronto pour Arrêter la Guerre
Ali Mallah alimallah@hotmail.com
Vancouver, Colombie Britannique
Samedi 22 juillet, 15h00
Marche et rassemblement d’urgence @ Vancouver Art Gallery
Al-awda—Coalition pour le droit de retour palestinien, Adala, and le Centre d’information libanais-CB
Calgary, Alberta
Vendredi 21 juillet, 15h00
Rassemblement pour la vie à la mairie : Arrêtez l’assaut sur Gaza et le Liban! M. Harper ne parle pas au nom des canadiens!
Organisé par : CANDIL (Canada, Democracy and International Law) et MAC (Muslim Association of Calgary)
Contact: Julie Hrdlicka at info-at-candil.ca or 270-9669
London, Ontario
Samedi 22 juillet, midi
Rassemblement pour dénoncer la réponse d’Ottawa à la crise au Moyen-Orient
Association of London Muslims, People for Peace etc.
Fredericton, New-Brunswick
Samedi 22 juillet, 13h00, devant la mairie de Fredericton
Rassemblement contre l’agression israélienne
Asaf Rashid handsofnothing@hotmail.com
Hamilton, Ontario
Samedi 22 juillet, 13h00, King & James St, Hamilton (devant Jackson Square)
RASSEMBLEMENT, NON À L’OCCUPATION ET À LA GUERRE! DEBOUT POUR LA PAIX! DÉFENDONS LE LIBAN ET LA PALESTINE!
Contact (905) 387-5538 for more details.
International
Norvège : Oslo
France : Dijon
Australie : Adelaide, Melbourne
Hollande : Amsterdam
Angleterre : London, Birmingham, Bristol, Exeter, Edinburgh, Glasgow, Kirkcaldy, Manchester, Newcastle, Norwich Sheffield, York
Allemagne : Munich, Hanover, Frankfurt
Hong Kong
États-Unis : New York, New Orleans
——————
Note : Cette liste n’est pas exhaustive!
Les sites internet suivant comportent aussi des mises à jour :
http://sanayehreliefcenter.blogspot.com/ (mondial)
www.stopdestroyinglebanon.org (mondial)
http://acp-cpa.ca/en/Palestineaction.htm (Canada)
http://www.stopwar.org.uk/ (Angleterre)
http://unitedforpeace.org/ (États-Unis)
Llamado a un día internacional de acción
http://beirut.indymedia.org/ar/2006/07/4609.shtml
Sábado 22 de julio: Día internacional de acción contra la agresión israelí
de: acción global de la gente – 20.07.2006 11:11
Llamado por un DÍA INTERNACIONAL DE LA ACCIÓN CONTRA LA AGRESIÓN ISRAELÍ el sábado 22 de julio de 2006
A medida que los ataques israelíes contra civiles continúan y se extienden día tras día en Líbano y Palestina, y mientras los gobiernos del mundo apoyan los crímenes de Israel, o en el mejor de los casos vuelven ciegos sus ojos ante sus acciones, es hora de que la gente hable.
El sábado 22 de julio de 2006 se ha declarado “Día Internacional de Acción Contra la Agresión Israelí”. Invitamos a la gente alrededor del mundo a levantarnos ese día para ser escuchados.
Por favor organiza una acción en tu ciudad o en tu área en ese día, bajo la bandera del “día internacional de la acción contra la agresión israelí”. Si tienes ya algo previsto para ese día que condena las acciones de Israel o en apoyo de la gente de Palestina y de Líbano, por favor lígalo a la acción internacional.
Se le solicita a ciudad/área que que acuerde un coordinador (o más) para enviarnos sus direcciones de e-mail para crear una lista de la coordinación.
Por favor actúa ahora. No hay tiempo que perder. Gracias.
Coordinadores de Montreal:
Mohamed S. Kamel
mohamed[at]btceramique.com
+514.863.9202
Ehab Lotayef
ehab.lotayef[at]mcgill.ca
+514.941.9792
Más información: http://tadamon.resist.ca/
TAMBIEN, por favor, envíalo a:
lebanon.solidarity[at]gmail.com
para saber de tu acción: http://sanayehreliefcenter.blogspot.com/
Firmantes:
Commentaire par llamado — 21 juillet 2006 @ 12:40Asociación de Jóvenes Libaneses Musulmanes
Foro Musulmán Canadiense
Coalición Contra la Deportación de Refugiados Palestinos
Movimiento de Solidaridad Internacional de Montreal
Miembros de la Diáspora Libanesa
Miembros de la Diáspora Palestina
Unidad Palestina y Judia (PAJU)
Palabra Árabe
Presencia Musulmana en Montreal (PMM)
Solidaridad con los Derechos Humanos Palestinos (SPHR)
Tadamon! Montreal
Voces de Consciencia (OCVC)
El Reagrupamiento de Argelinos de Montreal Canadá
Solidaridad a traves de las Fronteras
Nadie es Ilegal-Montreal
Musulmanes Canadienses por Jerusalen(CMJ)
If ignorance is bliss, take the smile off my face.
It might sound stupid or childish, but the Hizbolla (god’s party) have been preparing for it for more that 6 years, eversince the Israely withdrawl from Lebanon in 2000.
For 100 years we had to put up with the blind fundumentalist muslin hatred.
for more than 40 years Iran is plotting to eliminate all those who are not true muslims, including most of the people reading here.
You tell me that I have to run down to the bomb shelter every 2 hours because of MY government’s actions? And what would you have us do after 2 soldriers are kidnapped and 20% of Israel are bombarded. A peaceful solution? That can only be achived when the other side wishes for a peacful solution. But do they? why eles would they collect wepons and ammunition over 6 years? It goes too far back to just say Israel is wrong. We might be using acsesive force, but try to rrealize, it is out of selfe defence. Imagine how is would be like having VC’s 40 miles from your home, twisting your arm and patience for 10 years. You cannot make peace until the war is over, and they are waging a Jihad, a holy war. Eveyone killed is a Shahid – something like a martyr. do you really think that such militant phlisophy will allow them to sit down to the table of negotioation?
Ben Sless
Israel, Haifa
P.S. – I had to run down twice the the bomb shelter while writing this comment.
Commentaire par Ben Sless — 25 juillet 2006 @ 8:06El Día Internacional de Solidaridad con el Pueblo Palestino
29 de noviembre
Por: Dr. César A. Salomón
En la Sede de las Naciones Unidas, en Nueva York, el Comité para el ejercicio de los derechos inalienables del pueblo palestino, celebra el 29 de noviembre de cada año una reunión solemne de observancia del Día de Solidaridad. Entre los oradores figuran el Secretario General, el Presidente de la Asamblea General, el Presidente del Consejo de Seguridad y representantes de los órganos pertinentes de las Naciones Unidas y de organizaciones intergubernamentales. En la reunión se lee un mensaje del Presidente del Comité Ejecutivo de la Organización de Liberación de Palestina y Presidente de la Autoridad Palestina. Asimismo se invita a asistir a las organizaciones no gubernamentales, y un portavoz de la comunidad internacional de organizaciones no gubernamentales acreditadas para participar en el Comité hace uso de la palabra en la reunión.
En 1977, la Asamblea General pidió que se observara anualmente el 29 de noviembre como Día Internacional de Solidaridad con el Pueblo Palestino (resolución 32/40 B). Ese día, en 1947, en que la Asamblea había aprobado la resolución sobre la partición de Palestina (resolución 181 (II)).
El 1° de diciembre de 2005, en su resolución 60/37, la Asamblea General pidió al Comité para el ejercicio de los derechos inalienables del pueblo palestino y a la División de los Derechos de los Palestinos que, como parte de la celebración, el 29 de noviembre, del Día Internacional de Solidaridad con el Pueblo Palestino, siguieran organizando una exposición anual sobre los derechos de los palestinos en cooperación con la Misión Permanente de Observación de Palestina ante las Naciones Unidas. Asimismo, la Asamblea alentó a los Estados Miembros a que siguieran dando el mayor apoyo y la mayor publicidad a la celebración del Día de Solidaridad.
Hoy recordamos que este 29 de Noviembre, se cumplen 62 años desde que la Asamblea General aprobó la histórica resolución 181, en la que instó a crear un Estado judío y un Estado árabe. El Estado de Israel, fundado un año después, en 1948, celebra ahora 61 años de existencia. Es vergonzoso que todavía no podamos celebrar la existencia de un Estado palestino.
Commentaire par CESAR AUGUSTO SALOMON — 28 novembre 2009 @ 19:24La comunidad internacional no debe escatimar esfuerzos por ayudar tanto a israelíes como a palestinos a alcanzar una solución que conduzca al objetivo de la coexistencia de dos Estados, Israel y Palestina, uno junto al otro en condiciones de paz y seguridad. Las Naciones Unidas siguen teniendo actualmente la responsabilidad de resolver la cuestión de Palestina en todos sus aspectos y de conformidad con el derecho internacional. Asegurémonos de que ésta no se convierta en una responsabilidad permanente.
Hay siete millones de Palestinos: un millón y un cuarto viven en Cisjordania, un millón vive en Gaza, un millón y medio viven en los territorios ocupados en 1948, y el resto vive a lo largo y ancho de la Tierra.
En Cisjordania y Gaza viven bajo la ocupación militar sionista; en los territorios del 48 viven como ciudadanos de segunda clase; en los países árabes, la mayoría viven en campamentos de refugiados… ¡Pero no siempre se vivió así!
Hubo un tiempo en el que los Palestinos tuvieron casas, jardines, granjas y fábricas que habían sido antes de sus padres, y antes de los suyos, y antes de los suyos, y antes….
Nuestra tierra se extendía desde el río Jordán hasta el Mediterráneo y se llamaba Palestina; entre nosotros vivía un pequeño número de judíos y todos vivíamos en paz e igualdad…
A consecuencia de lo que sucedió en Europa, el movimiento sionista comenzó a ganar apoyos y empezó a pedir un Estado. Dijeron: “El Estado judío debe estar en Palestina”, “una tierra sin pueblo para un pueblo sin tierra”.
De la noche a la mañana, se nos privó de la condición humana. Nuestro país, que se encontraba bajo la ocupación británica, se convirtió repentinamente en un inmueble deshabitado y los británicos se otorgaron a sí mismos el derecho a disponer de él.
Miles de judíos ocupantes vinieron a nuestras costas y expulsaron por la fuerza a nuestro pueblo indefenso a los estados vecinos.
En el año 1948 nuestras casas, nuestros jardines, nuestras granjas y nuestras fábricas se convirtieron en suyas. Lo llamaron Israel.
Durante más de 20 años nos amontonamos en campamentos de refugiados, esperando que el mundo, que había ayudado a los judíos, nos ayudara a nosotros. En lugar de ayuda recibimos despotismo.
En el año 1967, el ejército sionista invadió Cisjordania y Gaza, los últimos dos trozos de Palestina. Les impusieron una dictadura militar.
Durante 35 años intentamos por todos los medios convencer al mundo para que reconociera nuestra humanidad y nos concediera los derechos de los que disfrutan los humanos. La respuesta fue el bombardeo de nuestros campamentos, la muerte de nuestras mujeres y niños, el asesinato de nuestros dirigentes, la extracción de nuestros árboles, la destrucción de nuestras casas.
Cuando intentamos defendernos, nos calificaron de “terroristas y criminales”…
Levantaron la veda a la caza de nuestro pueblo. Nos mataron en nuestras tiendas, nos torturaron en sus cárceles, nos tendieron trampas en nuestro exilio.
Durante 35 años buscamos la justicia. Recibimos agresiones.
Exigimos a los gobiernos del mundo nuestros derechos nacionales. Nos dieron un pedazo de papel en el que ponía: “resoluciones legales internacionales”. Utilizamos la argumentación, la lógica y las armas para que los gobiernos de Occidente se dieran cuenta de que apoyar al Estado sionista significaba dictar la pena de muerte de nuestro pueblo. Recibieron más apoyo.
Nuestros dirigentes dijeron al mundo que el pueblo palestino quería obtener sus derechos por medios pacíficos, pero que utilizaríamos otros si no había otro camino.
Las acciones israelíes –como las matanzas extrajudiciales, el uso de armamento pesado contra los civiles, la demolición de casas, la expansión continua de los asentamientos y la construcción de un muro que divide profundamente el territorio palestino- han provocado el aumento de la miseria y los sentimientos de desesperanza entre los palestinos, han socavado los esfuerzos para limitar la violencia y han fomentado el odio y la cólera hacia Israel.
La violencia en los últimos años ha cobrado miles de vidas. La mayoría de éstas han sido de palestinos, pero también ha habido víctimas israelíes. Muchos de los muertos han sido niños. Sin embargo, no hay solución militar posible para el conflicto palestino-israelí. La única solución descansa en un proceso político: uno que resulte en un arreglo comprensivo, justo y duradero, basado en dos Estados, Israel y Palestina, viviendo lado a lado en paz y con fronteras seguras y reconocidas.
Se necesitan grandes esfuerzos para atender la emergencia humanitaria y la devastación económica experimentada por el pueblo Palestino. Pobreza extrema, desempleo, niños sin escuelas, y un fuerte sentimiento de frustración y desesperación, son parte del día a día de los palestinos bajo ocupación. También hay que tener en cuenta la dificultad causada por restricciones severas del movimiento de personas y bienes materiales, toques de queda, barricadas, puntos de control y la construcción de una barrera de separación.
Debe trabajarse sin descanso, hasta que el pueblo Palestino finalmente obtenga lo que es suyo por derecho: el ejercicio de sus derechos inalienables, un Estado Palestino soberano e independiente.
LA LIMPIEZA ÉTNICA EN PALESTINA
La guerra de los Israelíes contra los Palestinos
Desde 1948, Israel ha utilizado su poderoso ejército, el cuarto más poderoso del mundo, para lanzar al menos ocho ataques masivos contra los palestinos. Estos incluyen 1956 (Gaza), 1967 (Cisjordania, Gaza); 1978 y 1982 (Líbano), 1985 (Tunes), 2002 (Cisjordania), 2006 (Líbano), y 2008/09 (Gaza). Estos ataques han tenido como resultado la muerte de decenas de miles de palestinos, en su gran mayoría civiles.
n 1947, las Naciones Unidas (ONU) propusieron dividir Palestina en dos adjudicando el 56,5% del territorio a los sionistas, que en ese momento eran alrededor de un 31% de la población. Los sionistas compraron alrededor del 6,5% de la tierra, la mayoría de propietarios ausentes. Su mayor adquisición de tierra fue a través de las fuerzas militares entre 1947-48.
Ignorando la proposición de la ONU, las fuerzas sionistas comenzaron una limpieza étnica en Palestina. 2.500 combatientes palestinos pobremente armados, apoyados por 4000 voluntarios de los vecinos Estados Árabes, no son comparables con los más de 60.000 paramilitares sionistas bien armados. En mayo de 1948, los sionistas declararon el Estado de Israel en el 78% de Palestina.
A finales de 1948, se estimó que 800.000 palestinos habían sido expulsados o habían huído por temor de alrededor de 500 aldeas y centros urbanos como consecuencia de las incursiones y masacres que los sionistas habían propagado. La mayoría de los pueblos fueron destruidos. En enero de 1949 la guerra terminó; Jordania ocupó y anexionó Cisjordania, incluido Jerusalén Este. Egipto tomó el control de la Franja de Gaza.
Israel plantó pinos de cercamiento rápido para esconder los pueblos palestinos destruidos y construyó otros en su lugar. Nuevos inmigrantes judíos se mudaron a sus casas.
Los aproximadamente 170.000 palestinos que permanecieron dentro del nuevo Estado fueron sometidos a un régimen militar hasta 1966, cuando pasaron a ser ciudadanos de Israel. Bajo el Apartheid israelí, no tienen los mismos derechos y beneficios que los judíos israelíes. El crecimiento de sus comunidades está restringido; no reciben el mismo tipo de servicios, sus escuelas reciben menos fondos que las escuelas para niñ@s judíos. Sus tierras son todavía confiscadas para el único desarrollo de los judíos.
En diciembre de 1949, las Naciones Unidas aprobaron la Resolución 194 que garantizaba el derecho de los refugiados palestinos a volver a sus casas. Israel no sólo rechazó esos derechos, sino que ya había robado las tierras palestinas y restringidas su uso para los judíos solamente. Israel decretó leyes que impedían a los judíos vender las tierras a los árabes, especialmente les negaron el derecho al retorno a los palestinos y permitieron a algún que otro judío en el mundo asentarse en Israel. Israel ha promovido en ocasiones de forma subversiva la inmigración de judíos a Israel. Esto ha incluido a judíos que habían estado asentados e integrados en otras tierras, así como en pueblos donde no se practicaba el judaísmo, e incluso a cristianos entre el millón de inmigrantes formados en la Unión Soviética.
En 1967, esa misma política de desalojo masivo de palestinos se repitió. En menos de 6 días unos 300 000 palestinos que vivían en Cisjordania y Gaza fueron obligados a dejar sus casas. Un tercio de ellos eran ya refugiados desde 1948, los otros dos tercios se convirtieron en refugiados por primera vez.
Las violaciones de los derechos humanos son inherentes a la ocupación ilegal i
Israelí. Éstas incluyen arrestos arbitrarios, abusos/torturas, asesinatos, restricción de movimientos, demoliciones de casas y robo sistemático de tierras y negación del derecho a la vida, a la educación y a la salud.
Desde 1967, casi 700.000 palestinos, incluidos niños, han sido encarcelados por resistirse a la ocupación. Son prisioneros políticos. Tanto los adultos como los niños son objeto de “detenciones administrativas”, lo que significa que pueden ser detenidos sin cargos o juicio alguno por un período de hasta seis meses, renovable indefinidamente. Los que son sometidos a juicio son juzgados en un tribunal militar donde los cargos y las pruebas pueden ser mantenidos en secreto para el acusado.
Decenas de miles de hogares han sido demolidos para facilitar la creación de asentamientos ilegales exclusivamente para judíos, carreteras de circunvalación y el Muro del Apartheid. Aunque Israel reivindica el carácter imprescindible de la presencia militar o la negación de permisos de obras para los Palestinos, las demoliciones de hogares están en realidad concebidas para confiscar más tierra palestina.
Por medio de su ocupación militar, lo que incluye el Muro del Apartheid, los asentamientos ilegales, las carreteras de circunvalación, los puestos de control y los cortes de las carreteras, Israel ejerce un poder absoluto sobre la economía palestina. Israel controla y grava todos los bienes que entran o salen de Cisjordania o Gaza. La tasa de desempleo en Cisjordania ronda el 30%; en Gaza se estima que la tasa de desempleo se sitúa entre un 60% y un 80%.
Mientras que los palestinos ven gravemente limitada su capacidad para desarrollar su propia industria u otros negocios, Israel ha desarrollado ilegalmente 17 centros industriales en la Cisjordania ocupada. El sueldo medio de los trabajadores palestinos en estos centros es de 1.700 ILS al mes. Dentro de Israel, el salario mínimo es de 4.000 ILS y el salario medio de un trabajador judío israelí es de 7.000 ILS.
Israel se ha hecho con el poder de una enorme parte de la producción agrícola de Cisjordania, haciendo que los palestinos pasen a depender de las importaciones de alimentos cuando en su día era autosuficientes. Los israelíes han arrancado más de un millón y medio de árboles, incluidos 300.000 olivos, en Cisjordania y Gaza desde el año 2000. La aceituna es el producto agrícola más importante de Palestina.
En junio de 2002, Israel empezó a construir un enorme Muro del Apartheid (disgregación) en Cisjordania para ejercer más fácilmente su control sobre la población, el territorio, la economía y los recursos de la Palestina ocupada. En 2004, el Tribunal Internacional de Justicia de La Haya dictaminó que el muro era ilegal y que Israel debería desmantelar toda la construcción y pagar indemnizaciones por los daños ocasionados por su construcción. Desafiante, Israel continúa construyendo el muro.
El Muro del Apartheid está controlado por torres de vigilancia militar y vías militares. En algunas zonas es una masa de cemento de ocho metros de altura (el muro de Berlín medía 4 metros) y en otras es una franja de 150 metros de alambre de espino, arena, alambrada eléctrica, suciedad y vías militares. A principios de 2009, ya habían sido construidos aproximadamente 486 kilómetros de los 760 que se supone que va a medir el Muro.
El Muro divide las comunidades palestinas y cerca por completo algunos pueblos y aldeas. Para construir el Muro, Israel se ha apoderado de tierras palestinas (12% de Cisjordania, incluido Jerusalén), ha separado aldeas de sus huertos, campos y lugares de abastecimiento de agua; y ha destruido hogares, tierras y cultivos.
La existencia de Israel, en su forma actual, se basa en una continua limpieza étnica de la población palestina. La idea se puso en práctica hace muchos años. Sus semillas se remontan a la falacia fundacional del movimiento sionista, que se propuso establecer un Estado nacional judío en un lugar habitado por otra nación. El establecimiento de un Estado nacional implicaba más o menos por definición la depuración étnica de los anteriores habitantes.
Albert Einstein se percató de esta falacia hace mucho tiempo. Poco después de la Primera Guerra Mundial, “Einstein se quejó de que los sionistas no estaban haciendo lo suficiente para llegar a un acuerdo con los árabes palestinos… Él era partidario de una solución binacional en Palestina y previno a Chaim Weizmann contra el nacionalismo de “estilo prusiano»”. [1]
El movimiento sionista hizo oídos sordos a esas advertencias. Así que, casi un siglo después, tenemos con un Estado nacional judío dominado por los nacionalistas militaristas y por militantes entregados con celo a la tarea de colonizar y “judaizar” el territorio bajo control israelí a ambos lados de la Línea Verde (la frontera de 1967). El proyecto ha sido llevado adelante ininterrumpidamente y sin descanso por parte de todos los diversos gobiernos israelíes, recientemente al amparo de unas “negociaciones” con el Presidente Abbas. La mayoría de las instituciones israelíes participan en dicho proyecto. Generación tras generación, los jóvenes israelíes ingresan en el ejército para ofrecerle la cobertura militar necesaria. La muchachada israelí ha sido sometida a un lavado de cerebro para que puedan creer honestamente que el ejército lucha “por la existencia de Israel”. Sin embargo, en opinión de muchos investigadores y especialistas sobre el tema, parece evidente que la supervivencia de la comunidad judía en Israel, depende de establecer mecanismos viables de convivencia con los palestinos. De modo que bajo el lema de “lucha por la existencia” el Estado de Israel viene llevando a cabo un proyecto de naturaleza esencialmente suicida.
Esta perspectiva de larga data que permea la visión de las clases gobernantes israelíes quedó resumida sucintamente en un libro recientemente publicado por un académico estadounidense llamado Saree Makdisi: Palestina Inside Out. El libro “sugiere que la ocupación no es más que otro rasgo más de la vigente política israelí de expulsar lentamente de sus tierras a la población nativa palestina. Esta política es anterior a la fundación del Estado y todas las prácticas que desarrollan los ocupantes (asentamientos ilegales, confiscación de tierras, demolición de viviendas, etc.) sirven a ese objetivo final”. [2]
Si usted descree de la afirmación anterior deténgase a considerar una serie de declaraciones realizadas por el propio David Ben Gurion en una época anterior incluso a la creación del Estado de Israel (Ben Gurion fue líder del movimiento sionista antes de 1948 y el Primer Ministro de Israel a partir de 1948):
“La transferencia forzosa de los árabes [palestinos] de los valles del Estado judío propuesto [por el plan de partición de la o¬nU] podría darnos algo que nunca tuvimos, ni siquiera cuando vivíamos en nuestra propia tierra en la época del primer y segundo Templos… Nos están dando una oportunidad con la que jamás nos atrevimos a soñar ni en nuestras más descabelladas fantasías. Esto es más que un Estado, gobierno y soberanía: esto es la consolidación nacional en una patria libre”. [3]
“Gracias a la transferencia forzosa [de la población nativa palestina, dispondríamos de] un vasto territorio [para establecer asentamientos]… Yo apoyo la transferencia forzosa. No veo nada inmoral en ella”. [3]
Durante la guerra de 1948 cerca de dos tercios de los palestinos que acabarían convirtiéndose en refugiados fueron expulsados de sus hogares por el incipiente ejército israelí y un tercio se convirtieron en refugiados para escapar de los peligros de la guerra. A toda esta gente (entre 750.000 y 1.000.000 de personas) se les impidió regresar a Israel tras el acuerdo de armisticio. Sus casas y bienes fueron arrasados o apropiados por el Estado israelí.
Entre los habituales mantras que recitan los israelíes para justificar lo anterior figura éste: “Israel aceptó el plan de partición de la ONU y los árabes no, por lo que todo lo que ocurrió después es culpa los árabes”. Lo que taimadamente se omite al decir eso es que los árabes palestinos constituían entre un tercio y la mitad de la población del territorio asignado al hogar nacional judío (según diversos informes de las Naciones Unidas). ¿Por qué deberían estas personas, cuyos antepasados vivieron allí durante generaciones, aceptar vivir en una patria ajena? Imagínese, por ejemplo, la reacción de los franceses belgas si la ONU designara a su país como “hogar nacional flamenco”.
Pero el principal mantra con el que se aporrea la conciencia de cada ciudadano israelí desde el jardín de infancia es el argumento de que en 1948 se trataba de “o ellos o nosotros”, “los árabes nos habrían arrojado en el mar si no hubiéramos establecido un Estado de mayoría judía y no hubiéramos creado un ejército poderoso”, etc. Hay dudas sobre ese sonsonete, pero supongamos que por un momento que las cosas hubieran sido efectivamente así. Entonces llegó el año 1967 y la Guerra de los Seis Días. Otro capítulo en la “lucha por la existencia” de Israel en contra de árabes recalcitrantes que seguían intentando arrojar al mar a sus ocupantes. En un primer momento eso es lo que parecía. Durante muchos años se pensó que 1967, fue de hecho un momento de peligro existencial para Israel. Hasta que me tropezamos con algunas elocuentes palabras pronunciadas los propios líderes [4]: “(a) The New York Times citó el discurso que el Primer Ministro Menachem Begin (1977-83) pronunció en agosto de 1982 y en el que dijo: «En junio de 1967 tuvimos una elección. Las concentraciones del ejército egipcio en el Sinaí no constituían una prueba de que (el Presidente Gamal Abdel) Nasser (1956-70) estuviera realmente a punto de atacarnos. Debemos ser honestos con nosotros mismos. Decidimos atacarlo nosotros».
(b) En febrero de 1968 Yitzhak Rabin, dos veces Primer Ministro de Israel (1974-77 y 1992-95), confesó lo siguiente al diario francés Le Monde: «No creo que Nasser quisiera la guerra. Las dos divisiones que envió al Sinaí el 14 de mayo no habrían sido suficientes para iniciar una ofensiva contra Israel. Él lo sabía y nosotros lo sabíamos».
(c) El general Mordejai Hod, Comandante de la Fuerza Aérea israelí durante la Guerra de los Seis Días, dijo en 1978: “Aquellos ochenta minutos iniciales [de la guerra de los Seis Días] fueron el resultado de 16 años de planificación. Vivíamos con el plan, dormíamos con el plan, comíamos el plan. Lo íbamos perfeccionando constantemente».
(d) El general Haim Barlev, jefe del ejército israelí, dijo a Ma ariv en abril de 1972: «En vísperas de la Guerra de los Seis Días no nos amenazaba ningún genocidio y jamás barajamos esa posibilidad”.
Así pues, en lugar de “frustrar un peligro existencial” en 1967 el Estado de Israel llevó a cabo una operación militar efectiva para apoderarse de más territorio. No hay nada nuevo en esa propaganda sobre el supuesto “peligro existencial”. Antes que los israelíes muchos otros conquistadores y ocupantes a lo largo de la Historia Antigua y Moderna maquillaron la adquisición de territorio por medio de la conquista embelleciéndola con eufemismos agradables tales como “destino manifiesto”, “carga del hombre blanco”, “difundir la verdadera religión / la cultura / la democracia”, o lo que fuere.
Tal vez interese saber que la conquista de territorios realizada en 1967 por el Estado de Israel había sido vaticinada veinte años antes por Ben-Gurion en la época del plan de partición (supuestamente aceptado por los dirigentes sionistas). Véanse las siguientes citas de Ben-Gurion, recopiladas en el libro de un historiador israelí [5]:
“Así como no veo en el Estado judío propuesto una solución definitiva a los problemas del pueblo judío, igualmente no veo la partición como la solución definitiva de la cuestión de Palestina. Los que rechazan la partición tienen razón al afirmar que este país no puede ser dividido porque constituye una unidad, no sólo desde un punto de vista histórico sino también desde el punto de vista físico y económico”.
“Una vez establecido el Estado [judío] crearemos un gran ejército, aboliremos la partición y nos expandiremos a toda Palestina”.
Debemos preguntarnos, si en algún momento de la historia ha habido alguna asociación de personas que se haya apropiado de bienes ajenos por la fuerza bruta y que se hayan juzgado a sí mismos con tanta indulgencia. Una y otra vez los conquistadores se han considerado a sí mismos como víctimas involuntarias de las circunstancias y de los bárbaros (¡sus propias víctimas!) contra los que lamentablemente tienen que proteger sus derechos. Considérense las siguientes manifestaciones de Benny Morris, un historiador que documentó la limpieza étnica de 1948. En una entrevista a Morris del año 2004 publicada en Haaretz se puede leer lo siguiente [6]:
“Q: El título del libro que ahora está publicando usted en hebreo es “Víctimas”. Así pues, finalmente su argumento es que de las dos víctimas de este conflicto, nosotros [los israelíes] somos las mayores.
Morris: Sí. Exactamente. Somos las mayores víctimas a lo largo de la historia y también las mayores víctimas potenciales. Aunque estamos oprimiendo a los palestinos somos la parte más débil aquí. Somos una pequeña minoría en medio de un océano de árabes hostiles que nos quieren eliminar”.
Esta opinión es representativa de la corriente de pensamiento mayoritaria en Israel. Con el paso de los años ha sido elevada a la categoría de axioma y probablemente ninguna oferta razonable de paz (por ejemplo la última oferta Saudí) será capaz de hacer mella en ella. Los israelíes están usando este eslogan para eximirse a sí mismos de la obligación humana de comportarse decentemente con los palestinos. La mayoría de judíos de Israel se han auto convencido de que tienen un derecho moral a expropiar y expulsar a los palestinos porque los palestinos son tan bárbaros que no respondieron a las “generosas ofertas de paz” de Israel y “sólo querían arrojarnos al mar”. Porque somos una nación de supervivientes del Holocausto. Mis compatriotas se veían a sí mismos como protagonistas de una versión moderna de “El Señor de los Anillos” de Tolkien, protagonizándola, por supuesto, como hermosos elfos forzados por su adverso destino a combatir a los feos íncubos palestinos (íncubos = “terroristas” ). La piedad humana no se aplica a los “terroristas”. Nadie hace concesiones territoriales o acuerdos de paz con “terroristas”.
Lo anterior explica la masiva participación de los, por lo demás, normales y más o menos decentes israelíes en los programas de limpieza étnica actualmente en marcha. ¿Cómo si no se puede explicar que un anciano moribundo y su esposa sean sacados por la fuerza de su apartamento en Jerusalén oriental para hacer sitio a los colonos judíos? ¿Cómo comprender que el “Museo de la Tolerancia” se construya en Jerusalén sobre el solar de un antiguo cementerio musulmán? ¿O la ofensiva israelí en Cisjordania contra los orfanatos mantenidos por organismos de beneficencia islámicos? ¿O los programas que perpetran en Hebrón y en otras partes de los territorios ocupados gánster-colonos judíos financiados por el Estado de Israel? ¿O el sadismo generalizado con el que los soldados israelíes tratan a los detenidos palestinos? ¿O los asaltos a los hogares palestinos durante incursiones militares nocturnas en ciudades y aldeas palestinas? ¿O las demoliciones de hogares palestinos en Cisjordania y Jerusalén oriental con el obsceno pretexto de ser “construcciones ilegales”? ¿O el sistemático latrocinio de tierras palestinas para beneficio de los colonos judíos? Y así muchas cosas más [7].
La Franja de Gaza es el lugar donde el sadismo israelí con ínfulas de superioridad moral ha alcanzado nuevas cotas. La Franja está densamente poblada, en su mayor parte por descendientes de los palestinos expulsados en 1948. Mucho antes de la segunda Intifada los israelíes confiscaron lo más selecto del territorio de Gaza a lo largo de la playa (cerca de ¼ de la superficie de la Franja) para asentar allí a unos pocos miles de colonos judíos. Así y todo, un millón y medio de palestinos de Gaza llevaban un tipo de vida normal (bajo ocupación israelí) cultivando frutas y verduras, fabricando materiales de construcción y otros productos para el mercado israelí y trabajando como jornaleros en el interior de la Línea Verde. Antes de la segunda Intifada a Israel llegaba muy poco terror procedente de Gaza.
Sin embargo, desde el comienzo de la Intifada (año y medio antes de que los palestinos lanzaran el primer cohete contra territorio israelí) el ejército israelí inició la destrucción sistemática de la Franja. Los israelíes llevaron a cabo incursiones cada pocas semanas y destruyeron fábricas y talleres, carreteras, labranzas, casas, y todo lo que se les ocurriera. Los israelíes cerraron el acceso de los gazatíes a la economía israelí. Finalmente, los desesperados palestinos recurrieron a disparar cohetes Kassam que rara vez causaban víctimas o daños reales pero que servían como excelentes pretextos para la “acción” militar israelí”.
Y entonces Sharon ejecutó su brillante movimiento de propaganda: la “desconexión” de Gaza. Toda la operación se vendió como una prueba de la buena voluntad israelí. Los asentamientos israelíes de Gaza fueron efectivamente eliminados, pero el ejército se desplegó alrededor de la Franja y la convirtió en una gigantesca prisión. El estrangulamiento económico de Gaza se intensificó hasta niveles draconianos, especialmente después de que el gobierno de Hamas abortara el putsch de Fatah que habían auspiciado al alimón Israel y USA. (No soy fan de Hamás, pero su gobierno fue elegido democráticamente por los palestinos). Hamas propuso en varias ocasiones iniciar negociaciones con Israel sobre la base de las fronteras de 1967, pero los israelíes limitaron al máximo la difusión de esas propuestas de Hamas e hicieron caso omiso de ellas. Con toda seguridad esas negociaciones habrían conseguido detener el lanzamiento de Kassams, pero los dirigentes israelíes parecían interesados en que la violencia continuara. Los Kassam crearon una gran oportunidad para degustar otra ración de la propaganda del “pobres de nosotros” y fueron una gran excusa para evitar satisfacer las legítimas exigencias internacionales reclamando el fin de la masiva colonización de Cisjordania.
Por último, se negoció una tregua con Hamas. Desde el comienzo de la tregua el ministro de Defensa israelí Barak inició los preparativos para un ataque masivo contra Gaza [8]. El 14 de noviembre la tregua con Hamas fue rota deliberadamente por orden de Barak cuando los israelíes mataron a varios combatientes de Hamas. A esas muertes siguió una respuesta palestina totalmente previsible: la cancelación de la tregua y una salva de cohetes. El bombardeo fue utilizado por Barak como pretexto para justificar una operación a gran escala que incluía la masacre de cientos de gazatíes con misiles lanzados desde aviones. Esta exhibición de fuerza forma evidentemente parte de la próxima campaña electoral de Barak y Livni, al precio de centenares de bajas palestinas y de algunas israelíes (pues en el ínterin los palestinos han mejorado su puntería). En una próxima operación terrestre los soldados israelíes también son susceptibles de pagar con sus vidas esta modalidad de campaña electoral.
¿Saben cómo interpreta todo lo anterior el israelí de a pie? Así: «Nosotros, los israelíes, en un acto de auto-sacrificio, expulsamos a pobres colonos judíos de sus “hogares” en la Franja de Gaza y les dimos a los palestinos una oportunidad de vivir una existencia libre y feliz. Pero los palestinos rechazaron nuestros esfuerzos de paz y prefirieron seguir alimentando su adicción a “arrojar judíos al mar”. Gaza podía haberse convertido en una nueva Singapur, pero en lugar de eso los gazatíes prefirieron disparar cohetes contra los israelíes”.
La retirada israelí de Gaza fue así un movimiento brillante por parte de ese genio del mal llamado Sharon. Proporcionó al israelí medio una absolución moral general. Los palestinos les habían “decepcionado”. Ahora los dirigentes israelíes pueden hacer con los palestinos lo que les plazca. No esperen ni la más mínima protesta pública por parte del público judío Israel.
De los cuatro o más millones de palestinos apátridas que viven en los territorios ocupados hay cerca de un millón de palestinos que viven dentro de la Línea Verde y que tienen ciudadanía israelí. A pesar del considerable racismo interior, muchos de esos ciudadanos palestinos están profundamente implicados en la sociedad israelí. Hay médicos y enfermeras árabes en los hospitales israelíes, estudiantes árabes en las universidades israelíes, etc. Existe un notable grado de coexistencia y cooperación entre judíos y árabes allí. Pero un colega judío de la corriente mayoritaria que podría tratar a su compañero de trabajo árabe de forma perfectamente decente seguiría estando orgulloso de un hijo soldado que se encontrara “sirviendo al país” en los Territorios Ocupados. Él o ella seguirían repitiendo la propaganda racista sobre el “peligro demográfico” representado para el Estado de Israel por sus ciudadanos árabes, se creería los sanguinarios discursos televisivos de los generales y ex-generales, y votaría por cualquiera de los tres principales partidos sionistas, el Likud, Kadima y el Laborista, cuyos dirigentes llevan años entregados a tareas de limpieza étnica.
Por el bien de las dos naciones que viven en Palestina, esta ignominia debe cesar. Debe ser detenida por la presión externa, porque dentro de Israel en la actualidad no existen fuerzas políticas significativas capace
Commentaire par Cesar A. Salomon — 11 mars 2011 @ 10:36DIA INTERNACIONAL DE SOLIDARIDAD CON EL PUEBLO PALESTINO 29/11/2011
Luego de 64 años La Comunidad Internacional reconoce la demanda legítima de los palestinos a convertirse en un Estado miembro de Naciones Unidas. Debe reafirmarse el compromiso por una solución que contemple dos Estados, un Estado de Israel y otro Estado independiente de Palestina, viviendo lado a lado, con todas las garantías de paz y seguridad, a permanecer unidos en su actitud frente a la demanda legítima del pueblo palestino a estar representados como Estado ante Naciones Unidas, a poner fin a toda construcción u extensión de colonias en Cisjordania y Jerusalén Este.
No podemos dejar de afirmar que Israel, es un Proyecto Colonial que estaba ya previsto en el Congreso de La Organización Sionista Mundial, (que fue creada el 3 de septiembre de 1897 durante el primer Congreso Sionista Mundial que tuvo lugar en Basilea (Suiza). Esta organización, que se denominó inicialmente Organización Sionista, sirvió como paraguas organizativo para el movimiento sionista. En 1960 la organización adoptó el nombre de «Organización Sionista Mundial». La sede de la organización se encuentra en Jerusalén), cuando el movimiento nacionalista judío decidió colonizar Palestina. En ese momento el colonialismo estaba en auge. Israel pide ayuda a las potencias coloniales de la época, porque se dan cuenta que necesitan una protección, primero al Imperio Turco, pero no muestra interés, luego al Imperio Británico, que si estaba interesado en tener colonos instalados en medio del Mundo Árabe, entre la parte este y el oeste que quería debilitar al pujante Egipto y quería controlar el Canal de Suez, el camino hacia la India, que tenía muchas riquezas. Después EE.UU. tomara el relevo por la cuestión del petróleo. Por tanto, la creación de Israel no es algo de 1940-1945, sino más bien, fruto de un proyecto colonial. Hay que recordar que esa época las potencias coloniales se reparten África como un pastel. La Conferencia de Berlín, celebrada entre el 15 de noviembre de 1884 y el 26 de febrero de 1885 en la ciudad de Berlín fue convocada por Francia y el Reino Unido1 y organizada por el Canciller de Alemania, Otto von Bismarck, con el fin de resolver los problemas que planteaba la expansión colonial en África y resolver su repartición. Tras la Conferencia, sólo un país africano conservó el derecho a preservar su independencia: Etiopía. El denominado Estado Libre del Congo tenía la calidad de posesión personal del rey Leopoldo II de Bélgica, mientras que Marruecos mantenía una independencia puramente nominal pues se hallaba en la práctica bajo ocupación militar de Francia y España. Liberia continuaba funcionando como un estado norteamericano en suelo africano. A la Conferencia asistieron catorce países que pueden ser divididos en dos grupos, el primero agruparía a aquellos países con interés directo en los problemas relativos al reparto de África, estaba formado por Reino Unido de Gran Bretaña e Irlanda, Francia, Imperio Alemán, Portugal, La Asociación Internacional del Congo y en menor medida los Países Bajos. El segundo grupo formado por el resto de los países participantes que no tenían grandes intereses el continente e incluía al Imperio austrohúngaro, Bélgica, Dinamarca, Reino de Italia, España, Rusia, Suecia, Imperio Otomano y Estados Unidos. Ningún Estado africano estaba representado. Se trata pues, de una época colonial e Israel es un proyecto colonial.
El pueblo judío no existe como tal, pues, no hay una misma historia, ni una misma cultura, ni una misma lengua, solo comparten una misma religión, pero la religión no es un pueblo, no se habla del pueblo cristiano o pueblo musulmán. Así tampoco se habla de pueblo judío.
Durante más de sesenta años Israel lo ha hecho de forma despiadada, creciente, sistemática e ilegal, con el objetivo de dejar en la mayor medida posible a los palestinos recluidos en cantones y rodeados de vallas en las partes menos valiosas del territorio mientras que el resto queda para uso exclusivo de los judíos.
Poco después de su “Guerra de Independencia” se aprobaron varias leyes [en Israel] para legitimar el robo de tierra palestina para uso exclusivo de los judíos.
Israel no es un estado de derecho, pues, el único país del mundo, cuya Constitución no fija los límites de su territorio. En todos los países del mundo, la Constitución establece donde comienza el estado y donde termina. Israel no, porque es precisamente un proyecto de expansión que no tiene límites. Además es una Constitución totalmente racista, que dice que Israel, es el estado de los judíos. Así que los otros son ciudadanos de segunda categoría y eso es la negación de la democracia.
Debemos precisar que Israel es un colonialismo, es el robo de la tierra, es la limpieza étnica de una población, eso no puede ser considerado una democracia
Cuando se cuenta la verdadera historia de Israel, cuando se muestra los intereses escandalosos de los gobiernos de EE.UU. y europeos, inmediatamente intentan cerrarle la boca al denunciante, acusándolo de antisemita o racista antijudío.
Se quiere al contrario, que sea posible un futuro, una Paz, un entendimiento entre judíos, los musulmanes, los cristianos y los laicos en el Oriente Próximo y por ello hay que parar al Gobierno de Israel en este crimen, porque eso no hace más que generar odio y esa es su estrategia. Los medios responden que los Palestinos son violentos, terroristas, etc., Debemos precisar una cosa: La verdadera violencia es el colonialismo, el ejército de ocupación israelí que ha robado a los Palestinos sus tierras y sus casas desde hace más de 63 años, es el ejército israelí quien impide a los Palestinos tener una vida normal
El problema que mucha gente se plantea, es que frente a tanto odio como lo provoca voluntariamente Israel y los que le apoyan, la gente piensa que es un conflicto que va a durar siempre, que no hay solución, que hay demasiado odio… hay que saber que la solución existe, porque las grandes organizaciones Palestinas han propuesto desde los años 60, soluciones democráticas y muy simples: un solo estado, sin discriminación, donde haya igualdad de derechos entre judíos, los musulmanes, los cristianos y los laicos. Es la propia definición de la democracia: Un hombre, una mujer, un voto. Israel siempre se ha negado a negociar esta solución ¿Qué es lo que ha hecho? Ha encarcelado o asesinado, no solo a los dirigentes de Hamas, sino también a los de Al-Fatah, FPLP, FDLP. Por tanto, Israel rechaza una solución que es clara y hay que preguntarse ¿Por qué?
Este 29 de Noviembre, debemos pedir a la Comunidad Internacional mayor acción para lograr una Paz justa y duradera en Palestina e Israel. Una mayor intervención de las Naciones Unidas, para que se cumplan todas las Resoluciones emitidas sobre la llamada CUESTION DE PALESTINA.
Cesar A. Salomón
Commentaire par CESAR A. SALOMON — 30 octobre 2011 @ 15:34Ex Presidente de la Federación Palestina del Perú
Senador del Parlamento Mundial de Los Estados para la Seguridad y La Paz