Photo: Denis Lemelin président du syndicat des travailleurs et travailleuses des postes.
Avec l’expansion de la campagne internationale de boycott, désinvestissement et sanctions qui a pour objectif de faire face à l’apartheid israélien et en solidarité avec la Palestine, une centaine de personnes s’était réunie la semaine dernière à Montréal dans le cadre d’une conférence à l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
evening featuring celebrated musicians from Montreal united against Israeli apartheid
Montréal, mars 2009 — Les Rendez-vous du cinéma québécois (RVCQ) vient de clôturer son édition 2009. Félicitations spéciales à Richard Brouillette, qui a récolté le Prix Pierre et Yolande Perrault / Meilleur espoir documentaire pour son film l’Encerclement – La démocratie dans les rets du néolibéralisme et à nos amis de Péripheria, qui ont gagné le prix du court métrage pour le film Three mothers de Daniel Schachter.
Vous n’êtes peut-être pas au courant, mais il y a un prix qui n’a pas été offert cette année.
J’étais parmi ceux qui ont encouragés le RVCQ de ne plus présenter le prix de la Fondation Ruth et Alex Dworkin pour la promotion de la Tolérance à travers le cinéma. Vous trouverez ci-jointe une lettre signée par une soixantaine de personnes du milieu du cinéma québécois en soutien à la décision du RVCQ de ne plus présenter ce prix controversé. Cette lettre a été envoyée aux Rendez-vous le 19 janvier 2009.
Alain Dancyger, directeur général, Les Grands Ballets canadiens de Montréal
En 2008, Jean-Luc Godard, grand cinéaste français et l’un des fondateurs de la Nouvelle vague du cinéma français dans les années 1960, a décliné une invitation à participer au Festival international du film étudiant de Tel Aviv. Ce faisant, il reconnaissait l’importance du mouvement de boycottage de l’apartheid israélien auquel appellent de nombreux organismes de défense des droits de la personne en Palestine, en Israël et partout dans le monde.
L’objet de cette lettre est un appel de Tadamon!, un mouvement basé à Montréal de solidarité avec les luttes pour l’autodétermination, l’égalité et la justice au Moyen-Orient, qui participe activement à la campagne internationale actuelle pour le boycott, le désinvestissement et les sanctions contre le gouvernement.
closing event for Israeli Apartheid Week 2009 co-presented with Cinema Politica
Durant les deux dernières années, plusieurs efforts ont été déployés pour restreindre le débat en faveur des droits des Palestinien(ne)s dans les universités canadiennes, à un tel point qu’on voit se dessiner un motif ou un modèle établi de suppression de la liberté d’expression et de la liberté d’association.
UN Secretary-General Ban Ki-moon has recently ordered an inquiry into the attacks against UN facilities in the Gaza Strip, including educational facilities. While Ban Ki-moon, Amnesty International, and many other human rights groups are looking for answers regarding Israeli military aggression in the Gaza Strip, McGill has shamefully excluded itself from the process of seeking truth and establishing justice and equality.
A recent motion submitted to SSMU’s General Assembly that called for the condemnation of Israel’s bombing of educational institutions in Gaza was not even given a chance to be discussed or debated; as it turns out, even human rights can be “postponed indefinitely.”
The last few months have seen a global surge in support for the movement of boycott, divestment and sanctions (BDS) against Israeli Apartheid. Important solidarity actions have occurred across the globe, including: a wave of student occupations across the UK; union resolutions in Europe, New Zealand and Australia; and, most recently, the historic action of South African dockworkers refusing to unload Israeli ships.
These actions register important steps forward in building solidarity with the Palestinian people and show that popular opinion is beginning to shift towards an understanding of Israel as an apartheid state that must be isolated in the manner of the struggle that was waged against South African Apartheid.
At the same time, pro-Israel organizations have responded to the strength of the BDS movement with the familiar tactics of repression, stifling of dissent and bureaucratic harassment. This article details a remarkable case of repression against student organizing at the University of Toronto (UofT).
